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vous propose un regard sur l’actualité et sur les tendances des différentes expertises d’Amundi Real Assets . L’objectif est de partager avec vous le quotidien de nos 220 collaborateurs, nos actualités, nos transactions emblématiques, mais aussi nos engagements en matière d’ESG et d’impact.
Convergence,
Depuis longtemps, ces caractéristiques ont donné aux actifs privés une place logique et importante dans les allocations stratégiques des institutionnels qui souvent, lorsqu’ils sont assureurs ou fonds de pension, agissent au bénéfice de particuliers (assurés, affiliés ou clients). A l’heure où l’épargne longue, diversifiante et porteuse de sens est attendue par ces derniers et nécessaire dans leurs portefeuilles, ces gestions se « démocratisent » en pénétrant chaque jour un peu plus les offres retail. Utile à nos clients, encouragée par de nouveaux cadres réglementaires, cette appropriation des actifs non cotés par un segment non professionnel et plus fragmenté sera une innovation et un défi qui, pour être relevé, demandera solidité et expérience. Innover sera clé pour adapter la classe d’actifs aux besoins de nos clients : produits evergreen, produits semi-liquides, portefeuilles multi-actifs, structures éligibles à l’assurance-vie et à l’épargne retraite, gestions à impact etc… Un important travail de pédagogie sera également indispensable pour préparer les épargnants à investir dans ce type d’actifs, moins liquides et différents de leurs homologues listés. Au-delà de l’information et du conseil dus aux clients et distributeurs au moment de la décision d’investissement, la qualité du reporting (financier et extra-financier) comme celle de la gestion opérationnelle seront autant de facteurs différenciants. Amundi Actifs Réels offre déjà ses produits et services à un grand nombre de distributeurs et, à travers eux, de clients particuliers. Fort de son dispositif mondial, de son expérience dans l’accompagnement de ses clients, de sa capacité à innover et à générer toujours davantage de valeur, Amundi entend ainsi jouer un rôle de premier plan dans la « démocratisation » en cours des gestions non cotées.
Plus de 60% des sociétés européennes, ou encore 85% des sociétés américaines au chiffre d’affaires supérieur à 100 millions de dollars*, sont non cotées. Parce qu’ils représentent une part significative de l’activité économique et financière mondiale, les actifs privés ont une place naturelle dans tout portefeuille d’investissement, en particulier aux horizons de moyen et long termes. Les gestions non cotées recouvrent une vaste gamme d’actifs, certains tangibles – ou « réels » – tels l’immobilier ou les infrastructures, ou encore ancrés dans de passionnantes histoires industrielles et entrepreneuriales (private equity, dette privée). « Circuit court » de l’investissement et de l’ESG, toutes permettent une intimité avec les actifs sous-jacents, sélectionnés et gérés dans une logique de grande proximité, au bénéfice de leurs performances financière et extra-financière.
les marchés privés : une opportunité pour tous
Le mot d'Amundi Actifs Réels
Timothée Jaulin, Responsable du développement ESG pour Amundi
Thierry Vallière, Directeur de la Dette Privée
Dominique Carrel-Billiard Directeur du Métier Actifs Réels chez Amundi
* Sources : InvestEurope, WorldBank et Amundi.
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Financer les transitions de l’économie est aujourd’hui un axe fondamental des différentes activités d’Amundi Actifs Réels. Dans ce contexte, la mission d’un gestionnaire d’actifs, c’est-à-dire un gérant d’épargne cherchant à fournir à ses clients le meilleur retour possible sur investissement, est elle-même en transition puisque la notion d’investissement performant évolue sans cesse. Désormais, l’impact pris en compte est également extra-financier. Pour Amundi Actifs Réels, la définition de l’investissement durable est le fruit d’un travail important fondé principalement sur le développement d’une méthodologie de notation propre et cohérente avec celle d’Amundi pour les actifs listés. Exigeante, elle permet d’objectiver et de tracer l’évaluation de chaque investissement. Il est souvent facile – et pas toujours infondé – de critiquer la prolifération d’exigences réglementaires encore imparfaites, même si elles tendent à juste titre à promouvoir la transparence et à éviter les fausses promesses. En Europe depuis l’entrée en vigueur en 2021 de la directive SFDR, on a vu en effet fleurir des définitions sensiblement divergentes de ce qu’est un investissement durable selon les acteurs concernés. Nous souhaitons naturellement que la règlementation s’améliore et devienne plus cohérente pour permettre aux investisseurs d’exercer un choix éclairé et pour garantir entre les acteurs des conditions véritablement équitables d’autant plus que nous avons choisi nous-même une exigence forte dans notre définition de l’investissement durable. Dans ce moment historique qui met en lumière pour la première fois et à si grande échelle les effets de l’interdépendance planétaire (les émissions de CO2 ne cessent pas leurs effets aux frontières), les transitions nécessaires sont nombreuses et nous concernent toutes et tous ! Nous avons la conviction qu’ Amundi Actifs Réels peut contribuer à les accélérer.
Le statu quo n’est plus une option puisque nous savons désormais que le développement économique, fondé essentiellement au cours des 150 dernières années sur l’exploitation intensive des énergies fossiles et des ressources naturelles, n’est pas durable. Les transitions s’avèrent indispensables. En premier lieu, la transition énergétique bien sûr puisqu’il faudra non seulement continuer à investir mais accroitre sensiblement les investissements à venir pour substituer aux hydrocarbures d’autres énergies sans CO2 : c’est le seul moyen de limiter la hausse des températures et de réduire les risques exponentiels qui en découlent. Mais la transition concerne aussi tous les changements nécessaires de nos modes de production et de consommation dans l’utilisation des ressources naturelles pour éviter leur épuisement et préserver la biodiversité. Comment pouvons-nous mieux produire ? L’agriculture et l’agroalimentaire sont en première ligne pour concevoir des modèles plus durables afin de réconcilier enjeux de productivité et impacts environnementaux. La transition concerne également la capacité de la société tout entière à supporter les changements nécessaires, c’est-à-dire les questions de répartition, qu’implique une transition juste.
L’heure est aux transitions
*Source : Amundi Actifs Réels - 2012
Le « S » est pour autant un puissant vecteur d’impact et d’engagement. Nos investissements peuvent bien sûr être destinés à des activités dont la finalité première est d’essence sociale. Mais ils peuvent aussi promouvoir plus largement dans l’ensemble de nos participations des modalités socialement vertueuses, comme le partage de la valeur, le soutien à la diversité ou la protection des conditions de travail. Nous pouvons compter le nombre d’emplois créés, de logements proposés, de soins prodigués etc… Le fonds Finance et Solidarité d’Amundi Actifs Réels, qui fête cette année ses dix ans, a ainsi contribué à la création de 60 000 emplois* depuis 2012, a permis à 410 000 personnes d’accéder à des soins* et à 350 000 autres d’être bénéficiaires de micro-crédits*. L’impact social est également présent dans les autres expertises, comme le Private Equity, la Dette Privée ou la Multigestion, où indicateurs et objectifs sociaux se déclinent largement. Amundi Actifs Réels recherche des partenaires soucieux d’avancer dans cette direction. Nous investissons main dans la main avec des sociétés qui s’engagent à nos côtés et que nous conseillons. Partie prenante de la gouvernance des participations et proche de leurs dirigeants, Amundi Actifs Réels sert des ambitions ESG qui sont au cœur des axes stratégiques du groupe Amundi depuis sa création. Qu’il participe à la raison d’être de certains de nos produits ou qu’il irrigue à sa manière l’ensemble de nos gestions, le « S » de l’ESG nous rappelle qu’au fond, nous mettons partout en jeu l’Homme et ses sociétés !
ESG : trois lettres maintenant au cœur des préoccupations de tous et devenues, bien plus vite qu’imaginé, une réalité quotidienne tangible. E pour « environnement » : les enjeux sont clairs et majeurs, il s’agit de prendre soin de notre planète en y favorisant une activité durable, respectueuse du capital naturel et protectrice de l’avenir. S pour « social » : toute activité est fondamentalement humaine, existe pour et par les individus et leur pose de larges et importantes questions comme équité, inclusion, diversité, santé, protection des plus fragiles, parmi tant d’autres G pour « gouvernance » : parce que transparence, éthique et bonnes pratiques doivent guider nos actions pour les rendre sûres et crédibles. Pour le S, plus difficile à appréhender, ce volet social demeurait jusqu’ici peut-être moins connu, en tout cas plus discret. Parfois moins factuel et quantifiable, le « S » recouvre des thématiques vastes, dont certaines touchent à des priorités et des sensibilités personnelles.
SOCIAL
En contribuant, sans intermédiaire, au financement d’infrastructures vertes, en donnant accès à la gouvernance des entreprises pour influer directement sur leurs choix en matière de responsabilité sociale et environnementale, ou encore en assurant aux investissements à impact un socle financier solide, les actifs réels sont le circuit court de l’ESG, incarné chez Amundi Actifs Réels dans l’ensemble de nos métiers. Cette année, nous avons entrepris un travail de formalisation plus explicite de nos engagements ESG afin de mieux mettre en lumière notre façon de travailler dans la sélection et l’accompagnement de nos investissements, tant auprès de nos collaborateurs que de nos partenaires et de nos investisseurs. Nous souhaitons également les remercier pour leurs engagements et les encourager, par la force de l’exemple, à poursuivre leurs initiatives. Notre ambition est ainsi de continuer à mieux intégrer les dimensions ESG et d’investissement durable de manière concrète, à commencer par le développement de nouvelles solutions à impact et l’atteinte des objectifs de Net Zéro. Notre dessein prioritaire d’ici 2025 est d’avoir un taux de couverture à 100% de nos investissements en portefeuille en termes de mesure du bilan carbone, et que ces derniers, si segmentés et variés soient-ils, intègrent une démarche collective de réduction quantifiée grâce au déploiement des outils nécessaires. Enfin, ce premier rapport d’investisseur responsable est également l’occasion de poser un repère qui facilitera, à l’avenir, la mesure des progrès accomplis année après année. Si nous avons déjà amorcé de grandes étapes, comme le parcours de labellisation des fonds immobilier, le lancement d’un fonds à impact en dette privée corporate, le financement des énergies renouvelables via Amundi Transition Énergétique, ou encore l’Impact social grâce à notre fonds Amundi Finance et Solidarité, nombreuses sont encore les actions à mettre en œuvre pour généraliser ces pratiques sur l’ensemble de nos actifs. Charge à ce rapport d’acter la poursuite de notre engagement dans un tel défi.
Deux ans après le déclenchement de la crise du Covid, et la prise de conscience planétaire de la fragilité de notre environnement, de notre société, et de nos modes de gouvernance, la finance semble désormais devoir assumer un rôle primordial dans la construction d’un monde meilleur. Nombreux dans l’opinion publique attendent qu’elle agisse comme un levier permettant la construction d’un monde plus durable. Les actifs réels s’imposent comme un des principaux piliers de ce nouvel écosystème. Ils semblent en effet répondre tant aux enjeux économiques mondiaux qu’aux attentes de performance et d’impact des investisseurs institutionnels et particuliers. Les actifs réels offrent un moyen direct de façonner de manière positive ce qui nous entoure. Transition énergétique, digitalisation de l’activité économique et des échanges, refonte des chaînes d’approvisionnement… Autant de défis majeurs posés par la sortie de la crise sanitaire auxquels les actifs réels, en gestion étroite avec les opérateurs, et fortement ancrés dans nos territoires, répondent dans une logique d’impact assumée.
(1) Fonds européens d'investissement de long terme (2) Un fonds ELTIF présente un risque de perte en capital. Par ailleurs, un fonds ELTIF est illiquide par nature en raison de ses investissements à long terme. Pour l’investisseur, il s’agit d’un investissement à faible liquidité. Par conséquent, le fonds ELTIF peut ne pas convenir aux investisseurs de détail qui ne sont pas en mesure de maintenir un tel engagement illiquide à long terme. Si des demandes de rachat ne peuvent pas être satisfaites, l’investisseur peut devoir faire face à une période de détention plus longue que celle initialement prévue. (3) à fin mars 2022
ENGAGEMENT
L’engagement d’Amundi Real Assets en matière d’ESG ne date pas d’hier. Notre fonds Finance et Solidarité qui fête ses dix ans en 2022, en est l’un des plus beaux symboles. C’est le fonds à impact social le plus important en France, avec près de 450 millions d’euros d’encours et le financement de 46 entreprises sociales, œuvrant pour l’accès au logement, à l’emploi ou encore la préservation des ressources naturelles. Nous innovons, toujours, dans la façon de penser nos fonds. Le nouveau millésime de notre fonds investi en dette privée - Amundi Senior Impact Debt IV (ELTIF) – impose à toutes les ETI européennes financées d’établir un bilan carbone pour pouvoir bâtir un plan d’action en vue d’une réduction rapide et contrôlée des émissions de GES. Cela répond à l’enjeu primordial de la donnée d’ESG dans l’univers des PME et ETI non cotées. Le Label ISR couvre désormais nos trois plus gros fonds investis en immobilier et notre engagement a été validé aussi à l’international par le GRESB qui a accordé tout récemment à OPCIMMO un classement 5 étoiles et « green star ». En voyant plus grand, en changeant d’échelle, nous souhaitons dès 2022 développer la collecte au niveau européen avec REALTI, lancé ce trimestre et qui sera ainsi le premier fonds Eltif retail immobilier : son objectif est de financer la création et le développement de nouveaux quartiers durables, pour contribuer à l’émergence de la ville de demain à l’échelle européenne.
(1) Le Label ISR est accordé aux fonds dotés d’une stratégie et d’une méthodologie d’investissement socialement responsable (ISR) rigoureuse et ambitieuse. L’attribution du label et les contrôles des résultats sont réalisés par trois organismes d’audit externes certifiés par les pouvoirs publics. (2) Global Real Estate Sustainability Benchmark. Le GRESB est une organisation internationale d’évaluation ESG du secteur immobilier regroupant plus de 1200 sociétés de gestion dans plus de 64 pays qui attribue une note à 96.000 immeubles dans le monde.
En ce début d’année 2022, Amundi Real Assets est fier d’annoncer que deux fonds gérés par Amundi Immobilier viennent d’obtenir le label ISR : la SCPI Rivoli Avenir Patrimoine et la SCPI Edissimmo. Ces deux nouvelles labellisations, comme les précédentes, sont autant de signes de reconnaissance de notre engagement en matière d’investissement durable. Amundi Real Assets demeure donc toujours aussi attaché à innover, sans relâche, en matière d’ESG, que ce soit par le lancement de nouveaux fonds ou l’évolution de ceux existants. Car pour obtenir cette classification, nous avons dû rendre ces fonds encore plus vertueux et nous établissons un plan d’action sur trois ans, afin de faire progresser systématiquement la note de durabilité de nos immeubles. Nous faisons en sorte que nos bâtiments consomment le moins d’énergie possible, nous favorisons les constructions en ossatures bois, nous aménageons des jardins, des potagers et des ruches sur leurs toits... Ce ne sont là que quelques exemples des multiples actions entreprises pour rendre nos immeubles plus durables.
Or, les fonds ELTIF font la part belle aux actifs réels : dans la réglementation actuelle, ils doivent être investis au moins à 70% dans le non coté. Leur développement devrait donc accélérer la création d’un vrai et grand marché européen des actifs réels. Les ELTIF bénéficient de toutes les tendances du non coté, avec un objectif de rendement plus important en contrepartie des risques associés à cet investissement(2), une plus faible exposition aux risques d'inflation et de volatilité et un attrait croissant auprès des épargnants. Amundi Actifs Réels n’a pas attendu cette réforme réglementaire pour créer ses premiers fonds de ce type. Déjà présents en France et en Italie avec plusieurs fonds ELTIF de private equity et de dette privée totalisant déjà près de 500 M€ d'encours au total(3), nous proposons désormais notre premier ELTIF paneuropéen investi en immobilier, en exportant ainsi notre savoir-faire et notre histoire dans la pierre papier. Ce premier ELTIF immobilier destiné à une clientèle retail éligible au titre de la règlementation ELTIF, est commercialisé en République Tchèque depuis le mois d'avril 2022 et il a vocation à être vendu dès aujourd'hui dans tout autre pays de l'Union Européenne dans lequel un distributeur s'engage à le commercialiser après enregistrement auprès du régulateur local.
Les ELTIF(1) passent à la vitesse supérieure. La réglementation de ces fonds européens s’apprête à être réformée, en vue de simplifier leur accès pour les investisseurs (bientôt plus de double seuil à 10 k€ min et maximum 10% du total de l'épargne financière) et donc d’accélérer leur développement. Le régulateur européen et les gouvernements ont tout intérêt à favoriser l’émergence d’un marché de capitaux plus unifié, plus profond, plus conséquent. Les ELTIF en sont un élément central car ces produits financiers peuvent être facilement exportés d’un pays à l’autre, nécessitant un délai de seulement quelques semaines pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché. Bénéficier de cet agrément évite ainsi de se heurter à un lourd processus de réglementation dans chaque pays puisqu'il suffit donc de pouvoir obtenir l'accord du superviseur d'un pays pour lancer un nouveau produit pan-européen. De même, les règles d’investissement vont être assouplies pour permettre aux ELTIF d’être plus facilement investis notamment en partie dans des fonds d'investissement alternatifs (FIA).
Accélération
Olivier Paquier, Directeur du Développement et de l'ESG d'Amundi Real Assets
Or, les fonds ELTIF font la part belle aux actifs réels : dans la réglementation actuelle, ils doivent être investis au moins à 70% dans le non coté. Leur développement va donc accélérer la création d’un vrai et grand marché européen des actifs réels, tout en faisant baisser à terme les coûts pour les investisseurs. Les ELTIF bénéficient de toutes les tendances favorables du non coté, avec un rendement plus important, une plus faible exposition aux risques d'inflation et de volatilité et un attrait croissant auprès des épargnants. Amundi Real Assets n’a pas attendu cette réforme réglementaire pour créer ses premiers fonds de ce type. Déjà présents en France et en Italie avec plusieurs fonds ELTIF de private equity et de dette privée totalisant déjà près de 500 M€ d'AuM au total, nous proposons désormais notre premier ELTIF paneuropéen investi en immobilier, en exportant ainsi notre savoir-faire et notre histoire dans la pierre papier. Ce premier ELTIF « real estate » destiné à une clientèle retail est commercialisé en République Tchèque à compter d'avril 2022 et il a vocation à être vendu dès aujourd'hui dans tout autre pays de l'Union Européenne dans lequel un distributeur s'engage à le commercialiser !
Les ELTIF passent à la vitesse supérieure. La réglementation de ces fonds européens s’apprête à être réformée, en vue de simplifier leur accès pour les investisseurs (bientôt plus de double seuil à 10 k€ min et maximum 10% du total de l'épargne financière) et donc d’accélérer leur développement. Le régulateur européen et les gouvernements ont tout intérêt à favoriser l’émergence d’un marché de capitaux plus unifié, plus profond, plus conséquent. Les ELTIF en sont un élément central car ces produits financiers peuvent être facilement exportés d’un pays à l’autre, nécessitant un délai de seulement quelques semaines pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché. Bénéficier de cet agrément évite ainsi de se heurter à un lourd processus de réglementation dans chaque pays puisqu'il suffit donc de pouvoir obtenir l'accord du superviseur d'un pays pour lancer un nouveau produit pan-européen. De même, les règles d’investissement vont être assouplies pour permettre aux ELTIF d’être plus facilement investis notamment en partie dans des fonds de fonds.
Trait d'union
Amundi a lancé en 2016 une division intégrée sur les 4 grandes classes d’actifs réels (immobilier, dette privée, private equity, infrastructures), que ce soit en direct ou en indirect, et avec en outre une équipe dédiée à l’impact investing. Aujourd’hui, dans cette phase de reprise post-COVID, les épargnants comme les institutionnels recherchent à la fois de la performance et de l’impact, soit précisément ce que peuvent leur offrir les actifs réels. Il est donc temps de rendre ces classes d’actifs encore plus accessibles : c’est la raison d’être de notre newsletter Convergence dont voici le premier numéro. Pourquoi « convergence » ? Notre objectif est de partager avec vous le quotidien de nos 220 collaborateurs, nos actualités, nos transactions emblématiques, mais aussi nos engagements en matière d’ESG et d’impact, comme le fait d’avoir rejoint récemment l’alliance des gérants d’actifs en faveur de la Net Zero Initiative. Nous souhaitons que cette newsletter devienne ainsi le trait d’union entre les équipes d’Amundi Real Assets, les investisseurs institutionnels comme particuliers, les entreprises que nous finançons, ainsi que tous nos partenaires. N’hésitez pas à nous contacter ! Bonne lecture !
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Que faudrait-il faire pour rendre ces classes d’actifs davantage accessibles aux investisseurs particuliers ? Comme le montre l’étude France Invest/Ernst & Young publiée en juin 2021, le private equity a offert de très belles performances sur les quinze dernières années et ceci explique en partie l’appétit grandissant des investisseurs particuliers pour cette classe d’actifs. Le principal enjeu est désormais de rendre plus accessible ces stratégies d’investissement, et la loi Pacte a déjà fourni des moyens de développement dans les contrats d’assurance-vie en unités de compte, ce qui permet aux épargnants de dynamiser leurs contrats et de diversifier leur patrimoine. Le Plan d’Epargne Retraite (PER), autre création de la loi Pacte, est également un formidable instrument. Il a déjà convaincu 3,7 millions d’épargnants et cotisants en France³. L’encours global des PER en France s’élève aujourd’hui à 45 milliards d’euros³ et des formules de gestion pilotées en fonction de l’âge de l’épargnant pourraient permettre de diriger une partie de ces sommes vers des financements de longue durée. Les contraintes de liquidité inhérentes au fait de financer et relancer l’économie dans la durée seraient ainsi absorbées par le temps long offert par l’épargne retraite. Enfin, dans le contexte des plans de relance et de soutien aux PME/PMIs post-COVID, les pouvoirs publics sont susceptibles de soutenir un environnement politique et réglementaire qui aiguille plus facilement l’épargne vers des fonds investis en infrastructures, private equity ou dette privée. Je pense bien évidemment aux ELTIF (European Long Term Investment Funds) dont le format pourrait évoluer en 2022 afin de favoriser l’accès des non-professionnels à ces classes d’actifs. Comment les actifs réels peuvent-ils contribuer à la transition vers la neutralité carbone ? Parce qu’ils facilitent l’apport direct de capitaux à des projets de grande ampleur, les actifs réels peuvent financer des infrastructures importantes dans les énergies renouvelables ou l’immobilier vert. Les nouveaux objectifs environnementaux de l’Union européenne – et en particulier la neutralité carbone pour l’ensemble des pays membres d’ici 2050 – pourraient amener à tripler le volume des investissements dans le renouvelable sur les dix ans à venir. Les actifs réels sont donc l’outil idéal pour répondre à ce défi et concrétiser la réalisation des objectifs de Net Zero. C’est pourquoi il m’apparaît essentiel de les rendre accessibles à un éventail plus large d’investisseurs, y compris aux ménages.
L’appropriation des actifs réels par les particuliers
Vidéo réalisée le 21 juin 2023
Indefi est un cabinet de conseil en stratégie qui fournit aux gestionnaires d'actifs - des 10 plus grandes sociétés mondiales aux spécialistes des marchés privés - une feuille de route pragmatique pour atteindre leurs objectifs de croissance. Présent en Europe et aux États-Unis, Indefi a une vision globale et une expertise approfondie des marchés locaux. Les conseils de l'entreprise, fondés sur la conviction et la perspicacité, couvrent la stratégie de croissance, l'entrée sur le marché, le développement et l'amélioration des produits, la durabilité et le soutien aux fusions-acquisitions. Pour plus d'informations, veuillez consulter le site www.indefi.com.
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Emmanuel Vey
La transition énergétique : comment la finance peut aider à transformer les territoires ?
Maëlys Cantzler
Présidente d'Homnia
"être entrepreneur social, c'est placer l'efficacité économique au service de l'intérêt général"
"L'ESG pèse désormais dans les décisions des investisseurs"
FRANCK DU PLESSIX
CEO d'Amundi République Tchèque
La République Tchèque, toujours à la pointe, lance un ELTIF unique sur le marché
Claire chabrier
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Le développement du capital-Investissement, une classe d’actifs qui se démocratise et qui participe à la relance de l’économie
Dominique carrel-billiard
Directeur du Métier Actifs Réels d'Amundi
Comment définissez-vous les actifs réels ? En quoi se démarquent-ils des autres classes d’actifs ? Notre définition des actifs réels englobe les différents actifs qui ne sont pas négociés sur un marché régulé – d’où aussi la terminologie de marchés privés - et qui servent à financer directement l’économie réelle. Ils permettent de donner du sens à un investissement, en se positionnant sur des projets très concrets. Chez Amundi Real Assets, nous proposons quatre grandes classes d’actifs réels: l’immobilier, la dette privée, le private equity et les infrastructures vertes, que ce soit en investissement direct ou en indirect, avec en outre une équipe dédiée à l’impact investing. Ce qui permet de démarquer les actifs réels des actions ou des obligations cotées, ce sont notamment leur faible volatilité, leur apport en termes de diversification dans un portefeuille d’actifs financiers et leur résilience face à l’inflation. Ils sont en cela particulièrement attrayants dans le contexte que nous connaissons d’incertitude sur la croissance et l’inflation dans nos économies.
Amundi Real Assets
Malgré les disruptions créées par la crise sanitaire dans l’économie, les marchés privés s’orientent, pour 2021, vers une année record en matière de levée de fonds. Dominique Carrel-Billiard, Directeur du Métier Actifs Réels d’Amundi, dévoile les atouts de ces classes d’actifs non-cotés dans un monde en transition. Justement, quels ont été les effets de cette crise sanitaire et économique mondiale sur les différentes expertises d’Amundi Real Assets ? Grâce aux atouts que je viens de citer, ainsi qu’à des perspectives de couple risque/rendement qui demeurent parmi les plus favorables dans l’univers des actifs investissables, les actifs réels ont globalement bien résisté à la crise et sont certainement un des paris gagnants du monde post-COVID. Selon la Recherche d’Amundi, au cours des dix prochaines années, les marchés privés pourraient offrir un rendement supplémentaire par rapport aux titres cotés d'une valeur de 200 à 500 point de base, selon la classe d'actifs (pour plus d’information, lire Investment Insights Blue Paper –Real assets favoured in a post-Covid-19 world, but higher fragmentation requires scrutiny)¹. Le dernier rapport Preqin sur les marchés privés en Europe, publié en collaboration avec Amundi, souligne une croissance de l’encours des gestionnaires européens de fonds d’actifs réels de presque 19% en 2020, pour atteindre 1 486 milliards d’euros² (pour en savoir plus et télécharger ce rapport, consulter notre site web). Au-delà de leurs qualités financières, les actifs réels permettent de relever les défis majeurs posés par la sortie de crise, en offrant une capacité de financement direct des transformations socioéconomiques qui nous attendent : transition énergétique, digitalisation de l'activité économique et des échanges, refonte des chaînes d'approvisionnement… Les pouvoirs publics ont mis en place des projets de grande ampleur pour relancer l’économie notamment en France avec les Prêts Participatifs Relance et les Obligations Relance sur lesquels Amundi Real Assets a pu bénéficier pleinement de la confiance des grands acteurs de l’assurance.
1 Investment Insights Blue Paper – ARA Outlook, August 2021. Source: Amundi CASM Model, Quant Solutions and Research teams, Bloomberg. Data as of 20 April 2 2 Hors hedge funds. Source : Rapport 2021 sur les Actifs Alternatifs en Europe, réalisé par Preqin en collaboration avec Amundi. 3 Source : AFG, 30 septembre 2021.
Olivier Paquier, Directeur du développement & de l'ESG chez Amundi Actifs Réels
Elodie Laugel, Directrice de l'investissement responsable chez Amundi
Marc Bertrand, Directeur Général d'Amundi Immobilier
Sofia Donatone Equipe Dette Privée Italie Amundi Actifs Réels
Quelle est votre philosophie d’investissement ? Il n’existe pas de recette miracle ! L’important est d’avoir un processus d’investissement structuré, robuste et d’avoir une excellente compréhension des business que nous accompagnons sur le long terme. Nous étudions les positions concurrentielles, les éventuelles barrières à l’entrée, la diversification des portefeuilles clients et fournisseurs, l’intensité capitalistique, la capacité à générer de la trésorerie, etc. Enfin, nous prêtons une attention particulière à la qualité du management portant les projets. Le travail de nos équipes ESG est lui-aussi essentiel. Nous finançons des entreprises sur le long terme et il est par conséquent inconcevable de se positionner sur des sociétés avec des gouvernances défaillantes ou des activités présentant des risques sociaux ou environnementaux. L’investissement à impact relève d’une véritable demande des institutionnels, sur l’equity comme sur la dette. L’implication d’Amundi en la matière est-elle un modèle précurseur ? L’impact est-il en train de devenir un critère incontournable ? Contrairement à une idée répandue, l’ESG n’est pas moins développé sur la partie privée que sur la partie publique. C’est simplement l’accès à la donnée extra-financière qui est souvent plus complexe sur les marchés privés au regard de la diversité des situations (taille des entreprises, juridictions, actionnariat, etc.). Nous avons une sensibilité historique à ces sujets car nous investissons à long terme sur des actifs privés. Depuis 2014, l’ESG est formellement intégré dans nos processus d’investissement. Un analyste ESG est présent dans chaque deal team et dispose d’un droit de véto au sein du comité d’investissement. Ma conviction, sur ce sujet incontournable est que d’ici 5 ans les critères ESG seront systématiquement intégrés dans le calcul du coût du risque d’une entreprise au même titre que sa structure financière ou son profil business. Il y a dix ans, alors que ces notions étaient encore naissantes, la principale démarche était l’exclusion. Ensuite, la logique a été poussée, avec une seconde phase davantage axée sur l’identification et l’atténuation des risques sociaux, climatiques et de gouvernance. Aujourd’hui, le nouveau paradigme, c’est l’impact. Nous cherchons désormais à améliorer les pratiques ESG des sociétés dans lesquelles nous investissons et déterminons en collaboration avec leurs managements, des indicateurs adaptés, mesurables et suffisamment ambitieux sur des sujets comme l’empreinte carbone, l’égalité femmes-hommes ou la formation, afin de mesurer les progrès réalisés au cours de notre investissement. La recherche d’impact est au cœur de notre nouveau fonds de dette privée, pour lequel nous nous sommes fixé un objectif d’un milliard d’euros d’ici la fin d’année 2022.
L’année qui s’ouvre est marquée par la poursuite de la crise sanitaire qui a trois conséquences pour notre environnement économique et financier : • La décélération de la croissance mondiale ; • Des tensions inflationnistes persistantes dont le caractère structurel reste incertain ; • Les incertitudes quant à la coordination des politiques des banques centrales et leurs effets sur les taux d’intérêts nominaux, réels ainsi que sur les taux de change. 2022 sera également une année charnière pour la transition vers la neutralité carbone et le développement d'un modèle de croissance plus durable et inclusif. Dans cet environnement, - Comment les actifs réels et les marchés privés peuvent-ils jouer un rôle majeur dans le portefeuille des investisseurs ? - Quelles sont les tendances et les opportunités de marché pour les actifs réels cette année ? - Comment les experts d'Amundi voient-ils 2022 en terme de décarbonisation de l'économie ? - Et quelles sont les perspectives pour le secteur des actifs réels ? Dans cette vidéo Perspective 2022, Dominique Carrel-Billiard, Directeur du Métier Actifs Réels chez Amundi, partage son opinion sur la manière dont les actifs réels pourraient à nouveau être "le pari gagnant" pour les investisseurs en 2022.
1 Source : Amundi se classe #10 parmi les plus gros gérants Européen Preqin 30/09/21 2 7% de nos actifs y étaient investis, représentant seulement 2% de nos encours 3 le covenant désigne une clause spécifique qui définit des engagements à la charge de l’entreprise emprunteuse en cas de non-respect de certains objectifs définis préalablement entre les signataires.
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Dominique Carrel-Billiard, Directeur du Métier Actifs Réels d'Amundi
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Fort de 8 milliards d’euros d’actifs sous gestion, Amundi Real Assets est un acteur majeur de la dette privée en Europe¹. Thierry Vallière, Directeur de la Dette Privée, nous présente les grands enjeux liés à cette classe d’actifs, particulièrement pertinente en phase de reprise. Qu’est-ce qui caractérise la dette privée et corporate ? En quoi Amundi Real Assets est un acteur de référence sur cette classe d’actif ? Une des raisons d’être de la dette privée, qui est aujourd’hui un marché mature de plus de 100 milliards d’euros en Europe, est de financer l’économie réelle sur le long terme et d’accompagner le développement et la croissance durable et rentable des entreprises. Elle agit ainsi comme un levier pour financer la reprise ainsi que les grandes transitions, numérique comme écologique. Enfin, les entreprises apprécient la diversification qu’elle procure (investisseurs institutionnels, amortissement in fine, maturité longue, etc.), la souplesse et rapidité d’exécution ainsi que la moindre volatilité que sur les marchés publics. Acteur de taille significative sur le marché de la dette privée en Europe¹, avec plus de 8 milliards d’actifs sous gestion, nous avons un accès privilégié et démontré aux actifs réels que nous accompagnons avec plus d’un milliard d’euros investis par an en moyenne sur une trentaine d’entreprises. Enfin, nous sommes extrêmement sélectifs dans la construction de nos portefeuilles. Nous avons un processus d’investissement robuste et éprouvé à travers les cycles. Nous investissons en moyenne dans un dossier sur quinze étudiés, ce qui réduit considérablement le coût de risque et offre un taux de perte extrêmement contenu. Quel impact a eu la crise sanitaire sur cette classe d’actifs ? Comment ont résisté les portefeuilles d’Amundi ? C’est justement grâce à cette sélectivité que nous avons pu construire des portefeuilles diversifiés et résilients. Ils ont en effet bien résisté à la crise car nous avions une exposition limitée aux secteurs les plus touchés, comme la distribution, la restauration ou le tourisme². Nous avons su également accompagner les sociétés les plus impactées et trouver des solutions constructives avec nos partenaires, que ce soit via de la new money ou des ajustements temporaires de covenants³. Nous n’avons eu aucun défaut sur cette période grâce à une gestion proactive et préventive. Preuve que les mécanismes de protection, notamment juridiques, que nous avions installés au sein de nos portefeuilles ont bien fonctionné en nous permettant d’échanger en amont des difficultés avec les entreprises.
Cette réglementation doit par ailleurs être accompagnée d’une formation rigoureuse des réseaux de distribution. « Les distributeurs doivent disposer des clés nécessaires pour expliquer les enjeux de l’investissement dans les actifs réels, à commencer par le fait que la liquidité à court-terme ne sera pas possible » commente Claire Chabrier. Adossées aux acteurs majeurs du marché, des associations de place comme France Invest déploient ainsi des démarches pédagogiques permettant d’accompagner la reconfiguration du marché. De nouvelles perspectives d’investissement L’ouverture aux particuliers de ces nouvelles classes d’actifs est à l’origine d’une dynamique de croissance pour les produits des sociétés de gestion. « Le retail est un levier récent, et les fonds dédiés sont encore peu nombreux, souligne Lelia Raynard. Chez Amundi Transition Énergétique, nous souhaitons capitaliser sur ce mouvement en proposant de nouveaux produits accessibles aux particuliers, notamment un fonds distribué en banque privée et un autre dédié à l’épargne salariale permettant de proposer une poche de diversification à nos clients. » Concernant la Dette privée, l’accessibilité de nouveaux fonds permet d’investir dans des typologies d’entreprises ou d’actifs présentes uniquement dans les marchés privés. « Ces actifs participent directement au financement de l’économie réelle et permettent une diversification des portefeuilles, en investissant dans des actifs absents des marchés publics traditionnels » explique Thierry Vallière, Directeur général de l’expertise Dette Privée chez Amundi Actifs Réels. Pour Guy Lodewyckx, Directeur de la multigestion sur les marchés privés chez Amundi Actifs Réels, cette dynamique de marché rebat les cartes des possibilités d’investissement en Europe. « Auparavant, certains produits étaient déjà accessibles aux particuliers mais dans des cadres locaux uniquement, explique-t-il. En France par exemple, nous pouvons investir depuis longtemps dans des produits de private equity présentant des avantages fiscaux. » L’assouplissement de la réglementation permet de généraliser ce type de placement dans un nouveau cadre : « La version 2 de ELTIF permet de créer un cadre paneuropéen, tant concernant la gestion que la commercialisation des produits financiers. Pour des sociétés de gestion d’une certaine taille comme Amundi, cela permet de lancer un seul produit pouvant être commercialisé sur plusieurs marchés. » L’uniformisation d’un cadre réglementaire européen permet par ailleurs de généraliser les règles d’investissement et de gestion de la liquidité : là où chaque pays disposait auparavant de ses propres contraintes, les consignes sont désormais les mêmes pour tous. « Nous avons désormais les possibilités techniques pour construire et distribuer les produits dans toute l’Europe(5) », conclut Guy Lodewyckx. Concernant le capital-investissement, une forte évolution s’observe depuis quelques années. « En 2022, 25,5 milliards d’euros ont été levés. Les personnes physiques et les family offices sont désormais les premiers investisseurs, à hauteur de 6 milliards d’euros, soit deux fois les montants souscrits en 2020 » souligne Claire Chabrier. De tels chiffres révèlent une tendance de fond selon laquelle les particuliers trouvent une nouvelle place dans le capital-investissement, quels que soient leurs profils. « Ces véhicules ouverts aux particuliers leur donnent ainsi accès à des typologies d’investissements qui étaient historiquement réservées aux investisseurs institutionnels, ce sont des investissements qui apportent du rendement et du sens. », rappelle la gérante.
(1) Loi relative à la croissance et la transformation des entreprises (2) Règlement dédié aux fonds européens d’investissement à long terme (3) Autorité des Marchés Financiers (4) Fonds commun de placement à risque
Sandrine Lafon-Ceyral, Directrice Adjointe des Investissements et Directrice de la politique ISR d’Amundi Immobilier
Guy Lodewyckx Directeur de la Multigestion pour Amundi Real Assets
Avec de nouvelles dispositions réglementaires comme la loi PACTE(1) ou plus récemment la législation ELTIF 2(2) , les investisseurs particuliers ont désormais un accès plus important à des classes d’actifs non cotés initialement tournées vers la clientèle institutionnelle. Quels sont les ressorts et les enjeux de cette nouvelle dynamique ? Quatre gérants d’Amundi Actifs Réels partagent leur analyse. Une accessibilité nouvelle des marchés privés Commençons par préciser que, dans le secteur de la gestion d’actifs, la clientèle est segmentée en trois catégories comprenant les investisseurs institutionnels, les investisseurs non professionnels (ou retail) et les investisseurs avertis. Les investisseurs particuliers avertis ne sont pas des clients professionnels, mais peuvent investir dans des fonds professionnels. Ils investissent en général des tickets supérieurs à 100 000 euros. « La loi tente de protéger les clients moins experts de manière à ce qu’ils n’investissent pas dans des produits trop risqués, explique Lelia Raynard, Directrice Exécutive chez Amundi Transition Énergétique, filiale d’Amundi investissant dans les infrastructures vertes. Dans le capital-investissement et les infrastructures notamment, les montages financiers sont relativement complexes. La réglementation encadre ce type d’investissements, même si le profil de risque dans les infrastructures non cotées est meilleur que celui d’autres produits accessibles aux particuliers.* » Depuis quelques années, cette réglementation évolue et rend ces marchés de plus en plus accessibles. En 2019, une première étape est franchie grâce à la loi PACTE, permettant de favoriser le développement du capital-investissement grâce à l’éligibilité de nouveaux supports aux unités de compte des contrats d’assurance-vie. L’objectif est de faciliter l’accès d’un grand nombre d’investisseurs à de nouvelles typologies de fonds afin que leur épargne soit directement fléchée vers des entreprises. En d’autres termes, la loi PACTE est venue renforcer la contribution de l’assurance-vie au financement de l’économie réelle. « Par exemple, certains véhicules ne sont plus plafonnés à 10% de l’encours du contrat d’assurance-vie d’un particulier, et ce déplafonnement encourage l’investissement dans le non coté » résume Claire Chabrier, Directrice associée chez Amundi Private Equity Funds. Une ouverture encadrée des marchés privés ? Pour autant, les gestionnaires d’actifs demeurent soumis à de nombreuses règles encadrant la commercialisation de leurs produits financiers auprès des particuliers. Les sociétés de gestion et chacun des fonds proposés aux investisseurs non avertis doivent disposer d’un agrément AMF(3) spécifique, et sont ouverts à une base de clientèle sélectionnée. L’AMF impose par ailleurs une communication normée sur ces fonds, avec un cadrage des risques. D’un point de vue réglementaire, ces fonds FCPR(4) sont régis par davantage de contraintes en termes de diversification que les fonds institutionnels. « Rappelons que cet encadrement strict a, d’abord, pour objectif de protéger les investisseurs, et d’orienter leur épargne vers des actifs permettant une diversification bienvenue », pointe Lelia Raynard*.
_____________ (5) A noter que la fiscalité et les contraintes de distribution restent propres à chaque pays
Cette appropriation des actifs réels par les particuliers devrait se renforcer dans un futur proche grâce au projet de loi sur l’industrie verte. Ce dernier propose d’intégrer un pourcentage obligatoire de non coté dans la gestion pilotée de l’épargne-retraite. Cet impératif figurera dans les contrats de gestion. « Cela permettra de compenser le retard de la France dans l’orientation de l’épargne-retraite vers l’économie réelle, puisque seulement 0,1% de l’épargne des Français est aujourd’hui investie dans le non-côté » estime Claire Chabrier. « A défaut de disposer de fonds de pension, capitalisons sur nos ressources disponibles pour financer une croissance durable », conclut la gérante.
_____________ https://alchimistes.co https://www.ecodrop.net
Sandrine Lafon-Ceyral, Directrice de l'investissement responsable chez Amundi Actifs Réels
Lire le rapport d'Investisseur Responsable
Laurence laplane-Rigal, Directrice de l’investissement à Impact Social chez Amundi
Mathieu Azzouz Gérant de fonds d’investissement à impact chez Amundi Actifs Réels
Florian Peudevin Gérant de fonds d’investissement à impact chez Amundi Actifs Réels
Des classes d’actifs performantes sur le temps long Investir dans les marchés privés est une gymnastique spécifique pour les particuliers. L’enjeu principal pour les investisseurs est de se placer dans une logique de long-terme. « Se tourner vers de tels actifs est particulièrement pertinent si l’horizon est celui de votre retraite par exemple », précise Lelia Raynard. « Il faut accepter que la liquidité ne soit pas immédiate », complète Thierry Vallière. Pour Guy Lodewyckx, ce mode de rendement présente un certain avantage : « Les investisseurs bénéficient de ce que l’on appelle une prime d’illiquidité : la moindre liquidité de ces placements à long terme est compensée par un rémunération supplémentaire. On peut parler de surperformance par rapport à d’autres classes d’actifs. » Cette résilience des actifs se retrouve notamment au sein des infrastructures : « moins volatiles, ces investissements présentent un bon couple rendement / risque », résume Lelia Raynard*. Thierry Vallière souligne effectivement que la Dette Privée offre des revenus récurrents et prévisibles, ainsi qu’un « couple risque-rendement attractif ». Par ailleurs, les actifs en Dette Privée bénéficient de taux flottants, contrairement à la très grande majorité des obligations publiques traditionnelles, et sont protégés en partie contre les risques d’inflation. « Tous ces avantages spécifiques à la Dette Privée permettent de contrebalancer l’absence de liquidité immédiate, conclut Thierry Vallière. Moyennant une évolution de l’allocation traditionnelle des portefeuilles en faveur des actifs privés*, le marché présente un beau potentiel de plusieurs centaines de milliards d’euros d’investissements en Europe. » Le financement responsable de l’économie réelle L’appropriation des actifs réels par les particuliers permet également de mobiliser des sources de financement au service d’une économie réelle, vertueuse et utile à la société. « Sur les marchés privés, les investisseurs sont au plus près des sociétés et des actifs, analyse Guy Lodewyckx. Quand un gérant investit dans une société, il participe aux instances de gouvernance et peut impulser des changements importants en matière d’ESG, contrairement aux investisseurs des marchés listés où les votes sont plus granulaires. » Les actifs réels sont par ailleurs largement représentés dans les marchés privés, avec la force de frappe de leur impact social et environnemental. L’ESG s’affirme de plus en plus comme un élément central dans le choix d’investissement, et les fonds les plus performants allient une diversification des portefeuilles à une stratégie ESG claire permettant de garantir la pérennité des actifs. Pour Claire Chabrier, le capital-investissement permet précisément d’activer ce levier d’une économie réelle plus durable. Avec plus de 7 600 startups, PME et ETI financées par le capital-investissement en France, ces acteurs accompagnent les entreprises pour les faire grandir et les transformer. « Aujourd’hui, face à l’impératif de décarbonation par exemple, nos PME et ETI françaises ont aussi besoin d’aide pour se transformer efficacement et durablement. » abonde la gérante. « Des investisseurs comme Amundi Actifs Réels sont en mesure de placer les enjeux environnementaux et sociaux au cœur des stratégies d’investissement. Les particuliers ont notamment la possibilité d’investir, aux côtés d’investisseurs institutionnels, dans les champions privés de l’industrie et des services que nous accompagnons sur ces enjeux extra-financiers. »
_____________ * Les rendements attendus ne sont pas garantis et les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Les investissements sont exposés à des risques de perte en capital, de liquidité et de crédit. Les opinions exprimées reflètent les convictions d'Amundi à la date de publication. Les documents marketing du fonds doivent décrire les risques et les avantages liés à l'achat de parts ou d'actions d'un OPCVM ou d'un FIA de façon tout aussi proéminente. Par conséquent, les risques et récompenses/performances/avantages d'un fonds doivent être équilibrés dans la documentation marketing et affichés les uns après les autres. Cela s'applique à tous les types de document marketing, y compris les interviews, le cas échéant.
Lelia Raynard, Directrice Exécutive chez Amundi Transition Énergétique
Claire Chabrier, Directrice associée chez Amundi Private Equity Funds
Thierry Vallière, Directeur général de l’expertise Dette Privée chez Amundi Actifs Réels
Relever le défi du financement des transitions grâce à l’investissement d’impact
« L’investissement à impact est un moteur précieux pour assurer les transitions nécessaires, puisqu’il ajoute des objectifs extra-financiers aux objectifs de rendement traditionnels », confirme Mathieu Azzouz, gestionnaire de portefeuille en investissement à impact chez Amundi. « En tant qu’investisseur à impact, notre métier est de proposer aux épargnants et aux investisseurs des produits dont la vocation est de financer la transition environnementale, que nous voulons la plus inclusive possible. Ces solutions innovantes étant souvent imaginées par des TPE et PME, nous les accompagnons dans leur changement d’échelle grâce à un conseil financier et stratégique. » « Notre gestion des déchets soulève une vraie question environnementale », explique Alexandre Guilluy, co-fondateur et Président des Alchimistes, une entreprise solidaire d’utilisé sociale (ESUS) dédiée au tri, à la collecte et la valorisation des déchets alimentaires. « Nous devons mettre un terme aux processus d’incinération et d’enfouissement des déchets, qui fragilisent la qualité de nos sols, et par conséquent la biodiversité et l’équilibre climatique. », complète l’entrepreneur. Cette entreprise est par exemple accompagnée par Amundi depuis 2019. Lors de leur première levée de fonds, Amundi n’est pas directement intervenu en capital mais via un prêt sans garantie. « Au-delà du pur volet financement, Amundi est une partie prenante de notre aventure entrepreneuriale qui nous permet d’avancer plus vite, plus efficacement, en alignant nos bilans environnementaux, sociaux et économiques », expose Alexandre Guilluy. Suite à un investissement significatif en fonds propres, Amundi siège au comité stratégique pour assurer une force de conseil ainsi qu’une mise en relation avec l’écosystème de l’entrepreneuriat d’impact. Si la transition environnementale est facilitée en France par un cadre réglementaire favorable (la loi AGEC par exemple) et les fortes attentes des clients et usagers, les objectifs de transition durable se placent dans le temps long. Un projet envisagé à horizon 2030 ou 2035 nécessite du capital patient. Pour atteindre les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par l’ONU, 7 trilliards de dollars devraient être investis chaque année dans le monde d’ici 2030. En France, pour basculer vers l’économie circulaire, 60 milliards d’euros d’investissements sont nécessaires chaque année. « Les opportunités d’investissements sont réelles, moyennant un alignement des intérêts entre les porteurs de projet, les financeurs, les épargnants et les investisseurs, afin d’atteindre le moment venu les objectifs financiers comme extra-financiers », note Mathieu Azzouz. « Il est aussi important de souligner que cette transition circulaire pourrait générer en Europe un bénéfice net de 1 800 milliards d’euros d’ici 2030 et la création de 700 000 nouveaux emplois pérennes et non-délocalisables. Les investissements participent ainsi à une transition juste pour tous (2). »
_____________ (1) Source Circular gap report 2023
Financer les transitions : une mobilisation de capital sur le long-terme En 2020, l’humanité battait un nouveau record en mobilisant plus de 100 milliards de tonnes de ressources naturelles pour alimenter l’économie (logement, alimentation, mobilité, biens de consommation…), soit l’équivalent de 1,75 planète Terre. Pour produire tous ces biens et services, la population humaine consomme 7 450 milliards de mètres cubes d’eau, qui engendrent eux-mêmes plus de 50 milliards de tonnes de CO2 émis. Des milliards de tonnes de déchets sont également stockés, dispersés, incinérés ou enfouis (1). Face au dérèglement climatique, nos sociétés sont appelées à opérer les transitions énergétiques, agricoles, alimentaires, nécessaires pour limiter les externalités négatives. Ces domaines nécessitent des investissements massifs pour garantir une transition juste et efficace. La finance apparaît alors comme un levier efficace pour assurer cette démarche de manière inclusive, en accompagnant le développement des solutions et en les rendant accessibles au plus grand nombre. « Notre monde est en transition permanente », souligne Florian Peudevin, gérant de fonds d’investissement à impact chez Amundi. « Les innovations succèdent aux révolutions. Autrefois, nos sociétés souhaitaient se mouvoir du local vers le global, tandis qu’aujourd’hui le retour au local est prégnant. » Cette dynamique se traduit par l’essor d’une économie dite circulaire, c’est-à-dire axée sur le réemploi et le recyclage. Les entreprises adressant ces enjeux environnementaux et sociaux sont invitées à se développer à plus grande échelle, être connues du grand public, et décupler leur impact. « Malheureusement, si des solutions se dessinent dans certains secteurs, comme la généralisation de l’isolation pour les bâtiments ou l’électrification pour les transports, ces réponses ne sont pas assez accessibles et généralisées », constate Florian Peudevin. La puissance des investissements à impact Depuis 10 ans, les équipes gestion impact d’Amundi Actifs Réels ont investi près de 80 millions d’euros dans une vingtaine d’entreprises portant des solutions bas-carbone pour les secteurs les plus polluants. Forte du constat que 80% de la pollution provient des activités de production humaine (transports, constructions, industries, alimentation…), la société de gestion d’actifs investit dans des secteurs coûteux pour accompagner des transitions majeures à grande échelle. « Il faut avoir les moyens de développer une solution innovante », expose Marie Combarieu, Présidente et fondatrice d’Ecodrop, une entreprise de la green-tech française fondée en 2016 ayant pour objectif de lutter contre les décharges sauvages des déchets du bâtiment et favoriser leur recyclage (40 millions de tonnes de déchets chaque année en France). « Chez Ecodrop, nous nous avions au départ des partenaires industriels puis des business angels, mais sans le soutien financier d’un acteur comme Amundi, nous n’aurions pas pu être viables aussi rapidement tout en poursuivant un changement d’échelle de grande ampleur. » Les fonds d’investissement à impact présentent notamment une logique financière tournée vers la stratégie à plus long-terme, et motivée par des indicateurs sociaux et environnementaux au-delà de la pure rentabilité économique, rappelle Marie Combarieu.
_____________ (2) Etude McKinsey sur l’économie circulaire pour la commission européenne, 2015
Investir dans la création de valeur sociale et environnementale En pratique, chaque investissement est précédé d’une analyse d’impact et ESG complète, développée en interne. Elle permet, en s’appuyant également sur l’aide externe de consultants experts, de vérifier l’éligibilité de l’entreprise à la taxonomie européenne, mesurer les tonnes de CO2 évitées (thèse d’investissement centrale), identifier des critères d’impact sociaux rendant cette transition inclusive, et mettre en œuvre un plan d’action pour améliorer le propre bilan carbone de l’entreprise investie. En effet, il s’agit de mettre en cohérence un mode de production vertueux pour l’entreprise, en complément de sa finalité visant un impact environnemental positif. « Nous vérifions ainsi la qualité et la mesurabilité de la solution portée par l’entreprise, afin de concevoir un business plan d’impact centré sur une transition environnementale juste et inclusive », explique Mathieu Azzouz. « Si nous prenons l’exemple d’une solution bas-carbone, chaque euro de chiffre d’affaire de la société doit rendre compte d’une certaine quantité de CO2 économisée. Cette méthode nous permet également de fixer des objectifs extrafinanciers tels que des critères d’impact sociaux (création d’emplois, accessibilité…), des pratiques ESG aux plus hauts standards et un mode de production minimisant son intensité carbone. Le tout garantit que les entreprises accompagnées vont dans le sens d’une transition juste. » Chez les Alchimistes, des objectifs concrets sont définis pour mesurer leur impact environnemental et social. « Nous sommes attentifs au pourcentage de nos collaborateurs éloignés de l’emploi au moment de l’embauche, soit entre 50% et 60% de nos collecteurs-opérateurs », souligne Alexandre Guilluy. « Nous faisons également en sorte d’augmenter leur niveau d’employabilité au fil des mois, puisque 100% des salariés bénéficient d’une formation en interne ou en externe durant leur parcours chez nous ». Sur le volet environnemental, les Alchimistes mesurent les tonnages de déchets alimentaires sauvés de l’incinération ou de l’enfouissement, ainsi que le nombre d’hectares de sols pouvant bénéficier de leur compost. Quant à Ecodrop, à l’heure du déploiement de grands enjeux réglementaires, l’objectif est de pouvoir ouvrir la voie d’une transformation responsable et durable de la gestion des déchets du bâtiment. « La collaboration entre des acteurs engagés dans la recherche d’un impact permet d’avancer en confiance », sourit Marie Combarieu. « Un partenaire financier correspondant sincèrement à nos valeurs, nous écoutant tout en nous faisant progresser dans nos conditions de travail et d’innovation, est très précieux ! » « Notre but est d’accompagner des entrepreneurs dans la conjugaison de leur trajectoire économique et trajectoire d’impact », continue Florian Peudevin, les critères d’impact environnementaux étant par ailleurs liés à une efficacité sociale. « Il est primordial de considérer la création de valeur auprès des clients, des salariés, et des territoires. Il s’agit de proposer une solution à l’ensemble de la population, tout en créant des emplois d’avenir intégrés dans l’écosystème de chaque territoire, facteurs de revitalisation de ces bassins économiques » conclut le gérant.
Faire sens et être rentable, c’est l’objectif de l’école de formation numérique Simplon. Fondée en 2013, financée jusqu’à aujourd’hui en partie grâce à des fonds solidaires, proposés par des acteurs-phares de la finance comme Amundi, cette Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale (ESUS) propose des formations gratuites dans les métiers du numérique pour aider des personnes éloignées de l’emploi à trouver rapidement un nouveau poste bien rémunéré. « Nous sommes une entreprise commerciale qui a pour but premier d’assurer une mission sociale dans les champs de la formation et de l’insertion professionnelle. L’ensemble de nos investisseurs sont issus de l’ESS ou porteurs des valeurs ESG afin que nous puissions déployer sereinement notre engagement dans la société. » explique Frédéric Barbeau, fondateur de Simplon. L’économie d’impact : au cœur de l’environnement et de la société Si l’ESG renvoie à une analyse extra financière, l’impact évoque quant à lui une intention. En complément de la validation de ses bonnes pratiques, l’entreprise se pose la question de sa contribution à l’environnement et la société. De plus, l’impact se mesure. Il n’est pas relatif par rapport à ses pairs, mais démontre des engagements et des résultats concrets. L’impact est d’ailleurs à l’origine d’une méthodologie de mesure spécifique, où les rapports de mesure sont élaborés avec des indicateurs simples et communs, comme le nombre de bénéficiaires pour chaque action. L’école de formation numérique Simplon place par exemple la mesure d’impact au cœur de ses actions grâce à la définition d’indicateurs de performance précis depuis le premier jour. Les profils des personnes formées sont recensés précisément avant la formation, puis elles bénéficient d’un point d’étape tous les 3 mois pendant 24 mois après leur formation à travers des enquêtes qualitatives et quantitatives. « Depuis 2013, nous avons formé 21 000 personnes. La moitié est au niveau du baccalauréat, ou en-dessous. Cet effectif rassemble 45% de femmes, 20% de réfugiés, 10% de personnes en situation de handicap. L’inclusion fait partie de nos priorités. Nous avons par ailleurs un très bon taux de sortie positive puisque 70% des apprenants ont trouvé un emploi ou repris des études diplômantes 6 mois après avoir suivi une formation Simplon. » expose Frédéric Barbeau. L’entrepreneuriat au service de la création de valeur pour la société et l’environnement Amundi a créé il y a 10 ans, en 2012, le fonds Finance et Solidarité (2), plus grand fonds à impact social en France avec 480 millions d’encours sous gestion(3). « Grâce à ce portefeuille, nous soutenons des entreprises à fort impact social et environnemental. Nous sommes convaincus que la transition environnementale et l’impact social sont étroitement liés développe Laurence Laplane-Rigal, qui a pris en 2018 la direction d’une business line créée à cet effet.
_____________ (1) Source FAIR – zoom sur la finance solidaire et à impact social 2022
Les investissements à impact sont un moyen efficace de contribuer à l’environnement et la société. Laurence Laplane-Rigal, Directrice de l’investissement à Impact Social chez Amundi, et Frédéric Bardeau, co-fondateur et Président de Simplon, réseau d’écoles inclusives formant des personnes éloignées de l’emploi aux métiers numériques, partagent leurs convictions pour une finance au service de l’Économie Sociale et Solidaire. Aujourd’hui, ce fait est établi et entendu par tous : une entreprise ne se résume pas à l’évolution de son chiffre d’affaires. Les trois lettres « ESG » (E pour Environnement, S pour Social, G pour Gouvernance) rendent compte de l’analyse extra-financière incontournable pour appréhender une entreprise dans toutes ses composantes intrinsèques. Certaines entreprises choisissent d’aller plus loin en définissant comme objectif principal la recherche d’une utilité sociale ou environnementale pour être pleinement actrices d’une transition juste, c’est-à-dire une transition plus inclusive où l’impact social et l’impact environnemental se rejoignent pour le bien de l’ensemble de la société. C’est notamment le cas des entreprises de l’ESS , l’Économie Sociale et Solidaire. La finance au service de l’Économie Sociale et Solidaire Le fléchage des investissements vers les acteurs de l’ESS est l’aboutissement d’une longue démarche amorcée en 1959 par le Général de Gaulle. Ce dernier est à l’origine de la création de la participation, financière des salariés aux bénéfices de leur entreprise dans le but d’associer les salariés aux résultats, de favoriser l’épargne collective et de développer un outil de dialogue social. Quelques décennies plus tard, en 2001, les premiers fonds d’épargne salariale se mettent en place. A partir de 2008, les entreprises proposant ce dispositif d’épargne salariale à leurs employés ont l’obligation d’intégrer au panel d’investissements proposés un fonds solidaire. Ce principe a pour objectif de recueillir à terme 10% des sommes des épargnants qui choisissent ce support pour les investir exclusivement dans l’ESS. Cette directive novatrice enthousiasme, mais se généralise difficilement. Il faut attendre 2014 et la loi sur l’agrément des Entreprises Solidaires d’Utilité Sociale (ESUS) pour lier étroitement le rendement économique à l’ESS. De nos jours, l’épargne salariale représente environ 150 milliards d’euros en France parmi lesquels 14 milliards sont exclusivement dédiés à l’épargne salariale solidaire.(1) Amundi qualifie l’impact à travers trois mots-clés : l’intentionnalité (ce à quoi l’on souhaite contribuer), l’additionnalité (ce que l’on apporte en plus) et la mesure de l’impact (les indicateurs pour mesurer l’impact généré). « Chez Amundi, nous mesurons systématiquement nos investissements à impact qu’il soit social ou environnemental. Notre but est de financer et d’accompagner les entreprises qui agissent le plus directement possible pour le « prendre soin » des hommes et des femmes et de notre planète , en répondant à cinq objectifs clairement définis : donner accès au plus grand nombre à un logement décent, un emploi reconnu, des soins appropriés, une formation adaptée et tout ceci dans un environnement préservé grâce notamment à l’économie circulaire. » souligne Laurence Laplane-Rigal, directrice de l’investissement à Impact Social chez Amundi.
_____________ (2) Réservé à la clientèle professionnelle - (3) Source : Amundi au 14 décembre 2022
Accès au logement, à l’emploi, aux soins, favoriser l’éducation, le bien-vieillir, l’économie circulaire, la consommation responsable… Pour soutenir toutes ces initiatives, Amundi a choisi de se positionner en investisseur de long terme. « Nous prenons le temps d’accompagner les entreprises dans lesquelles nous investissons et avons mobilisé un collectif d’investisseurs conséquent : 70%(4) du fonds est alimenté par des fonds d’épargne salariale, in fine ce sont près de 1 million d’épargnants concernés. De plus aujourd’hui ce sont 26 Caisses Régionales du Crédit Agricole, soit deux caisses sur trois qui ont investi dans ce fonds. » explique Laurence Laplane-Rigal. Le maillage territorial aux côtés des caisses régionales facilite notamment le changement d’échelle des acteurs d’impact. Le déploiement de l’impact social sur tout le territoire Les projets accompagnés par le fonds sont recensés sur le site internet dédié Amundi.oneheart.fr, un site web qui permet à chacun de consulter régulièrement le nombre de bénéficiaires des investissements à impact social. La rubrique Amundi Spot permet à tous les investisseurs du fonds de retrouver les investissements sur leurs territoires. La rubrique du village solidaire s’adresse quant à elle aux collectivités, en facilitant les mises en relation directe entre les acteurs à l’échelle territoriale et locale. « En outre, nous travaillons sur les synergies positives, c’est-à-dire la démultiplication possible de l’impact entre les entreprises du portefeuille. L’objectif recherché et partagé avec les entreprises n’est pas simplement de faire bien mais de faire mieux ensemble. » complète Laurence Laplane-Rigal. « Dans les prochains mois, notre objectif est de continuer à agir comme leader et moteur de l’investissement à impact social en visant 800 millions euros d’encours à horizon 2025. Nous allons nous diversifier, avec le lancement de fonds à destination des grandes entreprises et institutionnels qui recherchent davantage de rendement allié à un impact environnemental que nous voulons lier à l’impact social. Ce fonds s’inscrira dans l’objectif de transition Net Zéro 2050 commun à toutes les expertises d’Amundi Actifs Réels. Amundi bénéficie d’un savoir-faire reconnu en matière d’impact social et de transition environnementale : à nous d’avancer dans le sens d’une transition juste, c’est-à-dire une transition qui allie à plus grande échelle la transition environnementale et l’impact social. » conclut Laurence Laplane-Rigal.
_____________ (4) Source Amundi Actifs réels au 15 décembre 2022
l'investissement responsable l'adn d'amundi actifs réels
Depuis, l’ensemble des expertises d’Amundi Actifs Réels ont elles aussi adopté une charte ESG afin de formaliser leurs engagements. La responsabilité et le contrôle ESG des investissements se sont renforcés, avec notamment l’octroi d’un droit de véto veto aux analystes ESG au sein des équipes d’Amundi Private Equity Funds et de la Dette Privée. Les équipes Multimanagement s’assurent des bonnes pratiques des sociétés de gestion partenaires par un processus de sélection ESG rigoureux drastique et la mise en place de clauses très rigoureuses dans avenants les side letters. Le périmètre d’Amundi Actifs Réels a également pris une nouvelle ampleur avec la création d’Amundi Transition Énergétique en 2016. Cette société de gestion d’actifs est issue d’un partenariat d’un genre nouveau, en étant détenue conjointement par Amundi et un acteur industriel Elle investit dans des actifs diversifiés de la transition énergétique incluant notamment les infrastructures de production d’énergies renouvelables, ou dans des infrastructures de distribution et d’efficacité énergétique. Aller plus loin grâce à un premier rapport d’Investisseur Responsable Pour Amundi Actifs Réels, l’investissement responsable se positionne au-delà du simple but de satisfaire des normes réglementaires. « Une politique ESG doit répondre à des objectifs précis et engageants, sur lesquels nous voulons progresser et présenter des accomplissements concrets aux investisseurs et différentes parties prenantes », explique Olivier Paquier. Dans cette optique, la publication en 2022 du premier rapport d’investissement responsable d’Amundi Actifs Réels constitue une étape majeure. En exprimant et en renouvelant ses valeurs et ses ambitions, Amundi Actis Réels formalise pour la première fois sa démarche et expose à l’ensemble de ses parties prenantes trois engagements : •« Agir pour le climat » et proposer au moins un fonds ouvert* avec un objectif de gestion vers la transition net zero 50 pour chaque expertise d’ici 2025. •« Accroître la transparence », étape nécessaire afin de donner pleine confiance aux investisseurs dans la capacité d’Amundi Actifs Réels de réaliser leurs objectifs ESG. •« Aligner les intérêts de toutes les parties prenantes tout en construisant ensemble les outils nécessaires à notre progression en matière d’investissement durable », véritable exigence envers soi-même et ses partenaires.
_____________ *Il est important de garder à l’esprit les risques liés à ce type d’actifs, tels que le risque de liquidité, le risque de perte en capital ou l’absence de garantie des revenus .
Face à des enjeux écologiques et sociétaux contemporains inédits, Amundi Actifs Réels fait de l’investissement responsable un impératif. Cette priorité s’incarne dans une vision commune à nos six expertises, avec l’intégration de critères ESGESG (environnementaux, sociaux, de gouvernance) tout au long de la détention des actifs, ainsi qu’un objectif d’innovation continue en matière de solutions financières. Le changement d’échelle, d’intensité, dans l’engagement et la prise en compte des critères ESG est net et irréversible. « La période que nous traversons, avec la pandémie puis la guerre en Ukraine, devrait rester comme un accélérateur dans la reconnaissance de l'urgence à transformer notre économie et notre société en profondeur », analyse Olivier Paquier, Directeur du Dévéloppement et de l’ESG, Amundi Actifs Réels. L’investissement responsable apparaît plus que jamais comme un impératif, un enjeu dont doivent se saisir les sociétés de gestion. « La prise de conscience accrue de nos investisseurs, institutionnels comme particuliers, concernant la nécessaire transition écologique et sociale, renforce leurs attentes à l'égard d’une entreprise comme la nôtre et nous invite à être le plus clair, pédagogue et transparent possible quant à la teneur de nos actifs », complète Sandrine Lafon-Ceyral, directrice de l’investissement responsable pour Amundi Actifs Réels. Dix ans d’investissement responsable Amundi Actifs Réels bénéfiie d’un solide historique en la matière, avec une prise en compte des critères ESG intégrée depuis dix ans en complément de son analyse financière. Amundi Immobilier a été la première des six expertises de la division Amundi Actifs Réels à avancer sur ces sujets en adoptant dès 2012 une charte d’investissement responsable, « ce qui était alors inédit pour une société de gestion », précise Sandrine Lafon-Ceyral. L’année 2012 signe également le lancement d’une stratégie en Investissement à Impact Social commercialisée en France, du fonds Finance et Solidarité, qui dix ans plus tard, est devenu la stratégie la le fonds à impact social le plus importante en France, avec plus de 450 millions d’euros d’encours. La stratégie Il finance 48 entreprises de l’économie sociale et solidaire, œuvrant notamment pour l’accès au logement, l’emploi ou encore la préservation de l’environnement. Intégrer et innover Ces deux faits marquants illustrent parfaitement l’approche pionnière d’Amundi Actifs Réels en matière d’investissement responsable, mélange d’innovation et d’exemplarité en matière d’intégration de l’ESG dans les processus d’investissement.
_____________ **Source : Amundi, Avril 2022 Mentions légales : Ce document n’est pas destiné à l’usage des résidents ou citoyens des Etats Unis d’Amérique et des « U.S. Persons », telle que cette expression est définie par la «Regulation S» de la Securities and Exchange Commission en vertu du U.S. Securities Act de 1933. La définition de « US Person » vous est fournie dans les mentions légales du site www.amundi.com. Information promotionnelle et non contractuelle ne constituant ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’investissement, ni une sollicitation d'achat ou de vente d’instruments financiers ou services financiers. Amundi n’accepte aucune responsabilité, de manière directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l’information contenue dans ce document. Amundi ne peut en aucun cas être tenu responsable pour toute décision prise sur la base d’une information contenue dans ce document. Ce document non contractuel est basé sur des sources que nous considérons comme étant fiables. Investir implique des risques. La valeur d’un investissement dans les produits et les revenus qui en découlent peuvent évoluer à la hausse comme à la baisse. Les produits évoqués n’offrent pas de garantie de capital ou de performance. Par conséquent, les investisseurs peuvent perdre tout ou partie de leur capital initialement investi. Il appartient à l’investisseur de s’assurer de la compatibilité de cet investissement avec les lois de la juridiction dont il relève et de vérifier si ce dernier est adapté à ses objectifs d’investissement et sa situation patrimoniale (y compris fiscale).
Porter une vision commune Ce premier rapport d’investisseur responsable est aussi l’occasion d’affirmer une vision commune de l’ESG pour les six expertises d’Amundi Actifs Réels. « La lutte contre le changement climatique s’impose à nous de façon si forte qu’elle ne peut pas être menée isolément. Elle doit unifier l’ensemble des réponses et solutions possibles, autour d’une notion à laquelle nous croyons : une transition écologique et socialement juste », explique Sandrine Lafon-Ceyral. « Nous devons veiller à mener nos actions de manière coordonnée afin que notre ambition et nos résultats soient partagés et lisibles par tous. Il faut avoir une vision commune pour pouvoir ensuite rendre compte des effets produits », complète Olivier Paquier. C’est pourquoi nos principaux engagements pour 2025 sont communs aux différentes expertises : la mise en place d’une stratégie fonds « Ambition Net Zero » ainsi que l’instauration d’une feuille de route ou d’un suivi d’indicateurs ESG pour chacune des participations. Enfin, ce rapport est « l’occasion de poser un repère qui facilitera à l’avenir la mesure des progrès accomplis année après année », conclut Dominique Carrel-Billiard, directeur d’Amundi Actifs Réels.
_____________ * : Un fonds ouvert est un fonds d’investissement ou de placement dont il est possible d’entrer au capital (de souscrire des parts) à tout moment de son existence. Mentions légales : Les rendements attendus ne sont pas garantis et les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Les investissements présentent notamment des risques de perte en capital, de liquidité et de crédit.
La multigestion pour faire face aux enjeux d’aujourd’hui (et de demain)
Avoir le plus d’impact possible sur la transition énergétique Les besoins en matière de transition énergétique sont déjà identifiés comme très importants depuis plusieurs années, avec en ligne de mire l’objectif de neutralité carbone à horizon 2050. « Il semble que la crise russo-ukrainienne a amplifié ces besoins, en démontrant toute l’importance de la souveraineté énergétique et donc du développement des énergies renouvelables », analyse Guy Lodewyckx. Les projets de parcs éoliens ou solaires nécessitent des capitaux importants pour se développer et étant donné les enjeux précédemment évoqués, « on peut s’attendre à ce que les États mettent en place des politiques qui favorisent l'afflux de capitaux privés vers les infrastructures. », prédit M. Lodewyckx. Des opportunités… et des exigences Dans un contexte de poursuite de l’essor des marchés privés, l’équipe Multigestion d’Amundi Real Assets peut faire valoir son expérience et sa taille. Fondée en 1998, cette activité est une des plus anciennes d’Europe**, elle a pu ainsi réaliser plus de 900 investissements depuis ses débuts et fait valoir 20 ans de track record. Aujourd’hui, elle est investie dans plus de 600 fonds et dépasse les 10 milliards d’euros sous gestion**. Cette taille importante offre un avantage considérable à l’équipe Multigestion : « sur les marchés privés, l’information, par définition non publique, circule peu ; il faut donc posséder un réseau profond pour dénicher les bonnes opérations. Notre taille agit comme un facteur différenciant : nous obtenons plus facilement les informations et donc les opportunités, car quand un gérant lève un fond, il sait qu’il peut compter sur notre équipe pour collecter des sommes importantes. La taille permet une capacité de déploiement élargie que nous utilisons dans le but d’offrir des opportunités plus diversifiées à nos investisseurs », conclut Guy Lodewyckx.
Crise sanitaire, réchauffement climatique, conflit russo-ukrainien… Les incertitudes qui pèsent sur l’économie mondiale sont nombreuses. La multigestion permet de mobiliser des sommes importantes, de viser des rendements significatifs tout en diversifiant au mieux l’exposition aux risques de toute nature. Investir sur plusieurs classes d’actifs, dans plusieurs fonds, via différentes sociétés de gestion, autant de possibilités permises par la multigestion. Cette classe d’actifs séduit notamment aujourd’hui les clients institutionnels, désireux d’investir des sommes importantes de façon simple et en diversifiant au maximum leur placement et commence à prendre son essor directement auprès des épargnants individuels. Le client choisit une somme à investir, une durée d’investissement, le type d’actifs visés, ainsi que les secteurs économiques et géographiques à cibler. « Une fois ces critères définis, nous allons déterminer les fonds selon plusieurs priorités : des gérants avec des processus d’investissement éprouvés, des équipes stables et de bonnes performances. Nous accordons aussi une place primordiale à la prise en compte des critères ESG », détaille Guy Lodewyckx, directeur de la multigestion pour Amundi Real Assets. « Nous voulons que le portefeuille soit, dans son ensemble, équilibré et qu’il atteigne l’objectif établi par le client », ajoute-t-il. « L’analyse ESG des sociétés de gestion est déterminante. C’est une priorité établie chez nous depuis 2014, et nous avons développé un processus de sélection bien précis, dans lequel le reporting tient une place majeure. Pour investir auprès d’un gérant, nous devons avoir pleine confiance en sa capacité d’appliquer les pratiques ESG les plus appropriées dans ses décisions d‘investissement », rappelle Guy Lodewyckx. Diversifier ses expositions « Les marchés privés et les actifs réels séduisent de plus en plus les investisseurs institutionnels et la multigestion répond à leurs besoins importants en la matière », résume Guy Lodewyckx. Ils correspondent particulièrement bien à ce profil d’investisseur, pour plusieurs raisons. « Ces derniers recherchent des horizons de placement très longs et ont les moyens de s’orienter vers des actifs moins liquides pour potentiellement en tirer des rendements sur la durée », complète le directeur de la multigestion. Aller vers les actifs non-cotés couplés à la multigestion vise également à offrir une plus grande diversification des expositions.. Ces derniers points prennent tout leur sens dans une période comme celle que nous traversons. Diversifier ses expositions aux marchés est ainsi particulièrement pertinent dans des contextes de fortes incertitudes, qu’elles soient liées à des risques sanitaires ou géopolitiques. Les actifs réels ont d’ailleurs prouvé toute leur capacité de résistance au cours de la crise Covid, en affichant de bons rendements et une collecte en croissance soutenue*.
Le défi du Net Zéro : accélérer le développement des énergies renouvelables
De plus, les progrès technologiques permettent de réduire drastiquement les coûts de production de l’électricité grâce à des effets d’échelle. « Ces dernières années, la technologie éolienne s’est beaucoup développée et les nouvelles turbines des éoliennes sont beaucoup plus puissantes. Par ailleurs, d'importants parcs éoliens en mer sont en construction, et des parcs éoliens flottants en cours de développement. Deux technologies particulièrement intéressantes car elles permettent de capter un vent qui est moins intermittent et plus prédictible que sur terre », détaille Leila Raynard. Ces énergies vertes ont besoin de capitaux importants pour se développer. Le secteur financier et en premier lieu les investisseurs ont donc un rôle important à jouer. « Projets de long terme, les turbines éoliennes actuelles ont par exemple des durées de vie de l'ordre de 30 ans, ce qui correspond à des maturités d'investissement en ligne avec la stratégie d'ATE et celle de ses investisseurs, qui recherchent des rentabilités sur les longues périodes, décorrelées des marchés financiers », analyse Leila Raynard. « Les actifs de la transition énergétique sont très capitalistiques, les coûts opérationnels sont assez limités. À la différence d’une centrale à gaz ou à charbon, la matière première est gratuite » ajoute Grégoire Destenay. Opale Énergies Naturelles, le partenaire idéal pour se développer dans l’éolien Ainsi, le partenariat entre ATE et Opale Energies Natuelles signé en début d’année 2021, répond parfaitement aux enjeux précédemment évoqués. « Nous avons rencontré les dirigeants du groupe Opale Energies Naturelles en 2019. Nous nous sommes rapidement compris et avons pu bâtir une stratégie de développement mutuellement bénéfique. En mettant en place ce partenariat, Opale Énergies Naturelles a pu conserver son indépendance en tant que développeur, et Amundi Transition Énergétique investir pour le compte de ses investisseurs dans des actifs de bonne qualité et sur le long terme », résume Leila Raynard. La plateforme Opale Vesontio, issue de cet accord, a permis la construction d’un premier parc, baptisé MVI, qui a été financé en partenariat avec le Crédit Agricole Franche-Comté et BPIfrance. La construction d’un deuxième parc, baptisé BDS, a été entamée fin 2021 et devrait être achevée d’ici la fin de cette année. « Fin 2022, ceux-ci seront tous deux opérationnels et produiront assez d'électricité pour alimenter 27 000 personnes », complète Leila Raynard. ATE compte multiplier des partenariats similaires et saisir ainsi les opportunités offertes par la transition énergétique. « Actuellement présents en France, Belgique, Espagne, Italie et en Suède, nous souhaitons nous implanter dans d'autres pays européens. Concernant les technologies, nos fonds ont vocation à se développer également dans le biogaz, la mobilité électrique, le stockage, l’hydrogène, etc. » conclut la directrice exécutive d’ATE.
Quelles mesures mettre en œuvre pour limiter le réchauffement climatique ? Les actions nécessaires sont aussi gigantesques qu’indispensables. Parmi elles, le développement des infrastructures d’énergies renouvelables est une priorité. Si la dynamique est bonne, elle est encore insuffisante. La part des énergies renouvelables dans la consommation d’énergie en France est passée de 9% en 2005 à 19 % en 2020. « Nous restons néanmoins en deçà de l’objectif qui était de 23% pour la même année*», rappelle Lelia Raynard, Gérante et Directrice Executive d’Amundi Transition Énergétique (ATE). De plus, afin de répondre aux impératifs climatiques, « nous sommes en train d’électrifier énormément d’usages, la consommation électrique risque d’augmenter fortement dans les prochaines années », note Clément Martin, Gérant et Directeur Exécutif (ATE). Face à ces besoins grandissants, un mix énergétique plus équilibré est nécessaire, au sein duquel les différentes énergies renouvelables (éolien, solaire, biomasse) doivent progresser conjointement. Le défi de l’acceptabilité Le développement des énergies renouvelables, et des éoliennes en particulier, est confronté à un défi de taille en France : l’acceptabilité. « Alors que le besoin d’outils de production d'électricité tout comme la nécessité d'une production décarbonnée sont indéniables, les développements des projets d’énergies renouvelables sont souvent contestés par les riverains », regrette Leila Raynard. De ce fait, alors que la construction des projets solaires ou éoliens prend 12 à 18 mois, leur finalisation prend en moyenne sept ans à cause des délais de procédure. « Au niveau économique et politique, le contexte français en matière d’énergies renouvelables est pourtant plutôt favorable » ajoute Clément Martin. Si les acteurs publics et privés sont en effet souvent convaincus du bien-fondé de leur développement, ils peinent à transmettre le message. « Une meilleure communication sur ces énergies est indispensable », estime Grégoire Destenay, Gérant et Directeur Exécutif d’ATE. Des projets nécessitant des investissements importants Autre défi principal pour le développement des projets d’énergies renouvelables : leur coût de fabrication. Les parcs éoliens ou solaires demandent un investissement initial très important, mais ce constat vaut tout autant pour les autres formes de production d’électricité. _____________ *Objectif fixé suite à l’application d’une directive européenne de 2009
Lelia Raynard, Gérante et Directrice Executive d'Amundi Transition Énergétique (ATE)
Clément Martin, Gérant et Directeur Exécutif d'Amundi Transition Énergétique (ATE)
Grégoire Destenay, Gérant et Directeur Exécutif d'Amundi Transition Énergétique (ATE)
Le développement de ces techniques novatrices et, surtout, leur installation au sein de nos immeubles, nécessitent des investissements importants. C’est en cela que le secteur financier constitue un relai de la transition écologique du secteur immobilier. « En investissant directement dans des actifs vertueux ou dans des actifs qu’elles s’engagent à rendre plus vertueux, les sociétés de gestion ont un rôle-clef à jouer en matière de transition énergétique et écologique. Chez Amundi, nous sommes engagés dans cette direction depuis de nombreuses années et nous étions notamment présents aux côtés de l’UNEP FI en 2014 pour cofonder la Portfolio Decarbonization Coalition. Notre but est d’augmenter progressivement notre valeur d’encours vertueux et responsables, tout en continuant à développer des solutions de transition » note Timothée Jaulin. Le Net Zero comme boussole La Net Zero Asset Managers Initiative, rejointe par Amundi en juillet 2021, est une étape supplémentaire et importante de la mobilisation du secteur financier. Son objectif est d’inciter les grandes sociétés de gestion à aligner leurs actifs gérés vers les objectifs de neutralité carbone. « Cela implique de travailler l’ensemble des actifs sous gestion mais aussi de se fixer des objectifs plus contraignants sur une partie des actifs. Nous souhaitons être bientôt en capacité de développer des stratégies compatibles avec les Accords de Paris, dans leur version la plus ambitieuse sur l'ensemble de nos plateformes d’investissement », avance Timothée Jaulin. Les gestionnaires d’actifs s'engagent ainsi à faciliter les investissements vers des portefeuilles alignés avec les objectifs de neutralité carbone et vers des solutions contribuant aux objectifs de lutte contre les changements climatiques. Dans ses ambitions environnementales, le secteur financier sera aidé par les nouveautés réglementaires en la matière. Depuis octobre 2020, les fonds immobiliers sont ainsi éligibles au label d'État ISR. « Désormais piloté par Europlace et Finance For Tomorrow, ce label permet de donner aux investisseurs une vision claire et exhaustive de leur investissement, sur une série de critères normalisés », précise Sandrine Lafon-Ceyral. Il est également un gage de transparence et de qualité de l’information pour les investisseurs. Les investisseurs peuvent et doivent influencer le comportement des entreprises. En tant qu'actionnaires, ils disposent d'un levier important et ne sont pas de simples observateurs. Ainsi, ils devront être fortement mobilisés pour financer la transition écologique du secteur immobilier, elle-même décisive pour la réalisation des objectifs de neutralité carbone d’ici 2050.
La réduction des émissions du secteur de l’immobilier est une priorité, sans laquelle l’objectif ambitieux de Net Zero d’ici 2050 sera difficilement atteignable. Le secteur financier a, dans son ensemble, un rôle primordial à jouer afin de mobiliser les ressources nécessaires à la réalisation de cette transition vers la neutralité carbone. Dans un rapport publié en janvier 2021, l’UNEP (Programme Environnemental des Nations Unies) s’est alarmé du niveau inédit des émissions mondiales de C02 du secteur du bâtiment. Les chiffres sont éloquents : près de 10 milliards de tonnes en 2019, soit 25 % des quantités totales. En France, l’immobilier est le deuxième secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre, derrière le secteur du transport, produisant 45% des émissions nationales. De la nécessité de rénover un parc immobilier très énergivore « Le sujet majeur, en France, concerne surtout le parc existant, et en particulier celui constitué dans les années 70-80, qui abrite énormément « de passoires thermiques » », rappelle Sandrine Lafon-Ceyral, directrice adjointe des investissement et directrice de la politique ISR d’Amundi Immobilier. « L’immobilier constitue en effet un levier de décarbonation majeur de l’économie française » abonde Timothée Jaulin, responsable du développement ESG pour Amundi. Certains pays ont saisi très tôt l’importance de ce qui constitue une gageure. Citons notamment la Suède, dont la majorité du parc immobilier est reliée à un réseau de chauffage urbain, lui-même alimenté en grande partie par des biocombustibles ou de la chaleur rejetée par l’incinération de déchets ou d’autres industries. Grâce à ce système, ce pays a, en trente ans, su réduire de 90% ses émissions liées à la production de chauffage et d’eau chaude. Si l’enjeu réside principalement dans le parc historique, c’est aussi parce que les immeubles neufs sont désormais construits de manière efficiente, avec pour priorité, le respect de l’environnement. « Les promoteurs se sont saisis du sujet, ils travaillent à la fois sur les matériaux, mais aussi sur la gestion des déchets de leurs chantiers. Il y a une vraie prise de conscience », souligne Sandrine Lafon-Ceyral. Des avancées techniques pour une construction plus propre Les technologies développées aujourd’hui par le secteur du bâtiment permettent de mieux maîtriser les dépenses énergétiques de la construction à son utilisation par ses habitants. « Des constructions innovantes émergent : des bâtiments avec des ossatures bois, nécessitant par conséquent moins de béton, ou d’autres dotés d’installations techniques leur permettant d’être à énergie positive, comme la climatisation naturelle ou la géothermie », détaille la directrice adjointe des investissements d’Amundi Immobilier. Des technologies qui ont également la possibilité d’être dupliquées lors de rénovations au sein de bâtiments plus anciens.
Le Net Zero comme boussole La Net Zero Asset Managers Initiative, rejointe par Amundi en juillet 2021, est une étape supplémentaire et importante de la mobilisation du secteur financier. Son objectif est d’inciter les grandes sociétés de gestion à aligner leurs actifs gérés vers les objectifs de neutralité carbone. « Cela implique de travailler l’ensemble des actifs sous gestion mais aussi de se fixer des objectifs plus contraignants sur une partie des actifs. Nous souhaitons être bientôt en capacité de développer des stratégies compatibles avec les Accords de Paris, dans leur version la plus ambitieuse sur l'ensemble de nos plateformes d’investissement », avance Timothée Jaulin. Les gestionnaires d’actifs s'engagent ainsi à faciliter les investissements vers des portefeuilles alignés avec les objectifs de neutralité carbone et vers des solutions contribuant aux objectifs de lutte contre les changements climatiques. Dans ses ambitions environnementales, le secteur financier sera aidé par les nouveautés réglementaires en la matière. Depuis octobre 2020, les fonds immobiliers sont ainsi éligibles au label d'État ISR. « Désormais piloté par Europlace et Finance For Tomorrow, ce label permet de donner aux investisseurs une vision claire et exhaustive de leur investissement, sur une série de critères normalisés », précise Sandrine Lafon-Ceyral. Il est également un gage de transparence et de qualité de l’information pour les investisseurs. Les investisseurs peuvent et doivent influencer le comportement des entreprises. En tant qu'actionnaires, ils disposent d'un levier important et ne sont pas de simples observateurs. Ainsi, ils devront être fortement mobilisés pour financer la transition écologique du secteur immobilier, elle-même décisive pour la réalisation des objectifs de neutralité carbone d’ici 2050.
Immobilier
Olivier Tavernier
Président-directeur général de Constructa Asset Management
Lire le témoignage
"Nous avons accéléré la création d’emplois et favorisé la réinsertion professionnelle..."
En savoir
multigestion
Alexander Bjørklund
ESG Manager chez Summa Equity
"Nous avons adopté pour des Objectifs de développement durable des Nations unies, ... comme une boussole pour chacun de nos investissements."
Investissement a impact social
Laurent Laïk
Président du groupe La Varappe
"La Varappe a pour vocation à faciliter l'insertion des personnes éloignées de l'emploi à travers des métiers autour de l'environnement...."
Capital Investissement
Nicolas Lehericey
Directeur Qualité-Sécurité-Environnement (QSE) chez Chereau
"Nous avons écrit 4 grandes convictions, qui se sont traduites par 16 engagements..."
Dette privée
Xavier Sejourné
Directeur administratif et financier du groupe Jacky Perrenot
"Nous faisons partie des premiers acteurs à avoir mis en place les porteurs 26T 100 % électrique en France....."
infrastructures vertes
Jonas Dahlström
Chief Executive Officer chez Slitevind
"Notre objectif à court terme est de doubler notre production d'électricité, afin d'économiser un demi-million de tonnes de CO2..."
dette privée
Loïc Couilloud
Président-directeur général de Routin
"Chez Routin, ce sont 60 collaborateurs qui sont en charge d'opérations intégrant en leur coeur les critères ESG..."
3
questions à ...
Face aux besoins croissants des clients particuliers, Amundi Actifs Réels a identifié trois principales attentes de la part des investisseurs
Amundi Actifs Réels donne aux clients particuliers les moyens de saisir les opportunités sur les marchés privés européens grâce à sa plateforme de solutions. Amundi, l’un des principaux gérants d'actifs en Europe, propose des solutions destinées aux investisseurs particuliers désireux d'explorer les marchés privés européens. Ces solutions offertes par Amundi Actifs Réels donnent aux investisseurs la possibilité d'obtenir un potentiel de rendement supérieur et de diversifier leur portefeuille d'actifs tout en contribuant à l'économie réelle et à la transition écologique.(1)
1
Obtenir plus de rendement
Les marchés privés européens offrent des opportunités d'investissement attrayantes.(1)
Diversifier le portefeuille d'actifs
Dans un contexte économique en constante évolution, il est essentiel de diversifier ses investissements dans l’objectif d’atténuer les risques. Les solutions d'Amundi Actifs Réels permettent aux investisseurs particuliers de diversifier leurs actifs en accédant aux marchés privés européens, offrant ainsi une protection contre l'inflation et une résilience de leur portefeuille.(1)
2
Investir avec un impact positif
De plus en plus d'investisseurs sont sensibles à l'impact social et environnemental de leurs placements. Amundi s'engage à soutenir la transition écologique et l'économie réelle en proposant des investissements responsables dans des projets durables et innovants (2).
Pour répondre à ces besoins, Amundi Actifs Réels propose une plateforme de solutions adaptées aux investisseurs particuliers
Des véhicules ELTIF sur mesure
Les véhicules ELTIF (European Long-Term Investment Fund) d'Amundi sont spécialement conçus pour répondre aux attentes des investisseurs particuliers. Ils offrent des stratégies exclusives axées sur les marchés privés européens, permettant aux investisseurs particuliers d’accéder aux classes d’actifs habituellement réservées aux clients institutionnels et de profiter de potentiels rendements attractifs à long terme.(1)
Facilité de souscription
Amundi souhaite rendre l'accès aux marchés privés européens aussi simple que possible pour les investisseurs particuliers. Ainsi, la plateforme facilite les souscriptions, offrant aux investisseurs une expérience fluide et transparente. En outre, Amundi prévoit d’appliquer la nouvelle règlementation ELTIF 2.0, qui permettra des investissements avec un ticket minimum de 1000 euros.
(1) Les rendements attendus ne sont pas garantis et les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Les investissements sont exposés à des risques de perte en capital, de liquidité et de crédit. Les opinions exprimées reflètent les convictions d'Amundi à la date de publication. (2) Veuillez-vous référer à la Politique d’investissement responsable d’Amundi et à la Déclaration d’information sur la finance durable d’Amundi disponibles sur www.amundi.com
Le Fonds européen d’investissement investit 30 millions d’euros dans la stratégie de dette privée à Impact d'Amundi pour les PME
L’engagement du FEI valide trois caractéristiques très importantes de la stratégie de dette privée à impact d'Amundi:
Nous avons un principe simple : toutes les entreprises qui souhaitent être bénéficiaires d’un investissement de ce fonds doivent accepter de faire une évaluation carbone complète et s’engager envers un plan de mesures pour réduire leurs émissions. Valérie Baudson Directrice Générale d'Amundi
Valérie Baudson, directrice générale d’Amundi, et Marjut Falkstedt, directrice générale du Fonds Européen d’Investissement ont signé aujourd’hui un investissement de 30 millions d’euros dans la stratégie de dette privée à impact d'Amundi dédiée aux investisseurs professionnels et au financement des entreprises européennes de taille moyenneaux moyennes capitalisations européennes. Par ce biais, Amundi participe, aux côtés des autorités publiques et des régulateurs, aux efforts visant à assurer une transition équitable et, de manière très concrète, à transformer l’économie. Dans le cadre du programme InvestEU, lancé par la Commission européenne et le Groupe BEI, le Fonds européen d’investissement (FEI) a souscrit à hauteur de 30 millions d’euros dans le quatrième millésime de la stratégie dette privée à impact d'Amundi, qui vise à soutenir les PME dans leurs investissements de lutte contre le changement climatique et de durabilité environnementale. Cette stratégie de fonds met explicitement l’accent sur le développement durable, avec un objectif défini sur la lutte contre le changement climatique et la durabilité environnementale.
La première est d’apporter un soutien financier à des entreprises de taille moyenne qui n’ont pas accès au marché obligataire mais ont besoin de dette à remboursement in fine pour financer leur croissance ;
La deuxième caractéristique est la volonté d’Amundi d’investir dans des entreprises françaises et européennes afin de contribuer au renforcement du marché non coté européen et de devenir un acteur de premier plan sur les marchés privés européens ;
Enfin, le troisième aspect de ce fonds est le principe d’impact qui vise à accélérer la décarbonisation de l’économie.
Comme le FEI est connu pour ses normes élevées et sa sélectivité, cet investissement permettra à :
de convaincre d’ autres investisseurs institutionnels et d’augmenter la mobilisation de fonds d’épargne en faveur de ces objectifs communs.
Cela démontre très clairement l’effet de levier apporté par le programme InvestEU, à l’instar du Plan Junker Il permettra de réduire le retard des PME dans ce domaine et d’accélérer l’atteinte de l’objectif fixé par la directive sur la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises (CSRD), en vertu de laquelle l’obligation de publier une empreinte carbone sera étendue aux entreprises non cotées ayant plus de 250 collaborateurs d’ici 2026.
LA PASSERELLE, UN TIERS-LIEU A IMPACT SOCIAL
L’impact positif voulu par la Passerelle Sodexo se décline en plusieurs engagements
« … La Passerelle est le nouveau projet emblématique de l’engagement sociétal du groupe Sodexo. Ce projet va contribuer notamment à favoriser l’insertion professionnelle de personnes en situation d’emploi précaire et au développement d’une alimentation en circuit court issue de l’agriculture régionale. Il s’inscrit pleinement dans l’esprit des investissements réalisés par la business line d’investissement à impact au sein du pôle Actifs Réels d’Amundi et du projet sociétal du Groupe Crédit Agricole ». Laurence Laplane-Rigal, Directrice de l’investissement à impact social d’Amundi
Depuis quelques années, les projets de tiers-lieux se multiplient en France. Pour encourager leur installation dans les quartiers prioritaires, l’ANRU et Amundi se sont associés et ont co-investi dans la Passerelle, le tiers-lieu créé et pensé par Sodexo. Implanté au cœur des quartiers prioritaires de la ville, ce tiers-lieu permet d’apporter des réponses au plus près des besoins des habitants, tout en répondant aux enjeux de recrutement, notamment du Groupe Sodexo, dont 25% des collaborateurs viennent de ces .
Participer au développement de l’employabilité des habitants
Contribuer à la prévention santé par des actions de sensibilisation à l’alimentation
Contribuer au lien et à la cohésion sociale
Contribuer à l’attractivité du territoire, par la construction d’un bâtiment éco-responsable doublement labélisé
7 témoignages d'engagements esg
Max&Moore : un exemple d'innovation sur le plan environnemental
Max et Moore ont été acquis avant la recherche d'un locataire. Cette acquisition s'inscrit dans le cadre d'un fonds ELTIF, qui consiste à prendre un risque, avec pour résultat potentiel une plus-value lorsque l'actif est loué (mais sans garantie). Ils sont situés au cœur de Buiksloterham, dans une ancienne friche industrielle et zone portuaire, dans la zone nord de la ville d'Amsterdam. Ce quartier est devenu extrêmement populaire récemment et cherche à devenir un village écologique, durable et technologique. De nombreuses entreprises s'y sont déjà installées. Max&Moore devraient être certifiés BREEAM Excellent à l'issue de leur construction. Cette certification valorise les bâtiments qui protègent et respectent l'environnement depuis leur conception jusqu'à la fin de vie du bâtiment.
Voici quelques caractéristiques des bâtiments en faveur de l'environnement
Panneaux solaires sur les toits et sur les façades : Sur MAX : les panneaux couvrent une surface de 1 562 m² et sont capables de produire environ 163 200 kWh par an, soit environ 40 % des besoins énergétiques sur site. Sur MOORE : les panneaux couvrent une surface de 762 m² et sont capables de produire environ 78 613 kWh par an.
Système géothermique Le chauffage géothermique fonctionne en prenant l'énergie contenue dans le sol et en l'utilisant pour chauffer/refroidir les bâtiments.
Jardins sur le toit, patios et jardins d'hiver, les façades seront végétalisées pour favoriser et protéger la biodiversité.
90 places de stationnement, parking à vélos avec douches Eau de pluie collectée pour l'irrigation
Max&Moore sont deux immeubles de bureaux qui seront livrés en mai 2022, ils sont reliés par une passerelle et couvrent une surface totale de 9 800 m². Le bâtiment Max offre une surface de 7 015 m² et le bâtiment Moore de 2 785 m². Un bâtiment "ELTIF" doit répondre à plusieurs critères. C'est exactement la raison pour laquelle nous avons choisi les bâtiments Max&Moore : pour leurs aspects intelligents et durables.
Et pour aller plus loin, si vous voulez vivre une véritable promenade immersive à l'intérieur et à l'extérieur des bâtiments.... (nous vous recommandons de déconnecter votre vpn pour une meilleure expérience)
Ecodrop et l'Épopée, 2 initiatives qui œuvrent pour le bien commun et générent un impact positif
L’Epopée répond à l’enjeu d’accès à l’éducation et à la formation, deux thèmes clés portés par le Fonds. A titre d’exemple, c’est plus de 75 000 personnes qui ont bénéficié de formation depuis la création du fonds en 2012.
Créé en 2012, le FCP Amundi Finance & Solidarité, géré par l’équipe Impact Investing d’Amundi, avec 440 M€ d’encours à fin décembre 2021 et près de 50 entreprises solidaires financées, confirme sa position de leader (Classement Finansol 2021) dans l’investissement à impact social et solidaire en France. L’occasion d’évoquer certains des nouveaux investissements réalisés par l’équipe au cours de l’année 2021 et de s’intéresser aux acteurs économiques qui placent l’humain, l’environnement et le progrès social au cœur de leur stratégie.
éducation et développement économique dans une zone prioritaire
Initié en 2017 avec Etic, puis consolidé à Bordeaux avec Darwin Evolution en 2020, l’accompagnement des Tiers-Lieux se développe à Marseille cette année via le projet du collectif L’Epopée, porté par Synergie Family et d’autres acteurs de
Ecodrop s’inscrit dans une démarche de protection de l’environnement, une des thématiques phares soutenues par le fonds Amundi Finance & Solidarité. C’est en effet près de 275 000 tonnes de déchets qui ont été recyclés depuis la création du fonds il y a dix ans.
Ecodrop est une entreprise qui a été créée en 2017 et qui agit comme opérateur de la logistique des déchets de chantiers. Cette plateforme digitale, qui s’adresse aux professionnels du bâtiment et aux particuliers, propose un service de gestion et d’évacuation des déchets de chantier grâce à des solutions logistiques, pratiques, économiques et éco-responsables. Ce service permet de dynamiser la filière du réemploi et permet aux grands acteurs qui l’utilisent, de moins recourir à l’enfouissement et à l’incinération de leurs déchets.
récupération des déchets de chantier
l’économie sociale et solidaire (ESS). Ce nouveau site localisé dans un quartier prioritaire de la ville (QPV) au nord de la métropole, dans l’ancien siège du groupe Pernod Ricard sera dédié à l’innovation éducative et inclusive dans un espace de plus de 15 000m². L’Epopée vient disrupter les formats éducatifs classiques et mise sur la complémentarité des acteurs et l’intégration territoriale pour répondre notamment aux enjeux d’employabilité et de pauvreté de ces quartiers.
by Amundi Finance et Solidarité
Le village Solidaire
Ils sont cinq acteurs, tous très complémentaires, à avoir imaginé et fondé le FoodCub. Initié par Amundi Immobilier, le bailleur des Docks, le pilotage a été assuré par Constructa Asset Management, société de gestion immobilière. Pour mener à bien ce beau projet, ils ont fédéré plusieurs structures à leurs côtés : l’incubateur « Le Carburateur », l’École hôtelière de Provence ainsi que la fondation des Apprentis d’Auteuil. Chaque partenaire apporte aux futurs talents les conditions d'une bonne formation en alliant savoirs théoriques et pratiques. Cet incubateur gastronomique est une réponse à un constat implacable : 80 % des start-ups du secteur de la restauration dirigées par des chefs ont une durée de vie inférieure à cinq ans. Et plus de 25 % des jeunes diplômés de la filière, Baccalauréat ou CAP, sont toujours au chômage quatre ans après l’obtention de leur sésame. L’objectif est ainsi d’accompagner les start-uppers de la restauration - ainsi que leurs apprentis - afin de les aider à s’installer de manière pérenne dans leur activité. Avec ce type d’initiative, Amundi Immobilier souhaite créer des expériences uniques et développer ainsi l’attractivité des centres commerciaux.
Ce projet hybride, mêlant RSE et Food, a ouvert ses portes en septembre dernier au sein de la cité phocéenne. Impulsé par Amundi Immobilier, le Foodcub a vocation à soutenir, accompagner et propulser les projets ambitieux de chefs cuisiniers et de leurs apprentis en devenir. Les docks se réinventent. 400 m2, avec une importante façade en front de mer, adossés à deux terrasses (une intérieure et une autre extérieure) des espaces de production, de vente, ainsi que sept corners de concept food innovants sont désormais dévolus aux apprentis et aux chefs porteurs de nouveaux concepts culinaires.
Amundi Private Equity Funds s'associe à Meanings Capital Partners pour stimuler la croissance du leader du Big Data, Jems
Amundi Private Equity Funds (PEF) réalise une opération majeure en participant à l'acquisition de la majorité du capital de Jems, expert du Big Data. Cet investissement stratégique est réalisé en collaboration avec Meanings Capital Partners et Africinvest, marquant une étape importante dans la croissance de Jems, qui vise à devenir le leader européen du Big Data.
un leader du secteur en forte croissance du Big Data
Chiffre d'Affaires 2022
74 millions d'euros
745 collaborateurs
L'entreprise est bien implantée sur plusieurs marchés internationaux, notamment en : France, Suisse, Belgique, Espagne, Roumanie, Maroc Tunisie.
Source : MEANINGS CAPITAL PARTNERS – 21/06/2023
Amundi Private Equity Funds s'engage à soutenir la croissance organique de Jems et à l'accompagner dans sa stratégie d'expansion par acquisitions, tant en France qu'à l'international. Avec plusieurs acquisitions prévues d'ici 2027, Amundi PEF est enthousiaste à l'idée de contribuer à positionner Jems comme un leader en termes de Green IT et de numérique responsable. Cet investissement démontre l'engagement continu d'Amundi PEF à soutenir des entreprises innovantes et prometteuses avec un fort potentiel de croissance.
Amundi Dette Immobilière finance la régénération d’un immeuble à lyon
Amundi Dette Immobilière s’engage, aux côtes de BNP Paribas, pour un montant de €70m dans un Green Loan hypothécaire afin de financer la restructuration (démolition et reconstruction) d’un immeuble de bureaux à Lyon.
Au cœur du quartier d’affaires de La Pardieu à Lyon
Immeuble de bureaux
30 000 m2 de bureaux et commerces
Le projet vise à proposer au marché locatif des espaces répondant aux derniers standards, en terme :
D’efficience énergétique : l’opération vise les certifications environnementales Breeam et HQE au niveau excellent, ainsi que les labels Well et WiredScore Gold.
De flexibilité d’usage : format flex office, offre de services intégrés comprenant fitness, auditorium, restauration, pharmacie, espaces de co-working, bureau de Poste en pied d’immeuble, etc.
De centralité et qualité d’environnement
Ce projet devrait tirer profit de la polarisation accrue du marché valorisant les actifs aux meilleurs standards et disposant des meilleurs labels. Ce Green Loan a été alloué à deux fonds sous gestion réservé exclusivement à des investisseurs professionnels Notre nouveau fonds de dette privée réservé exclusivement aux investisseurs professionnels est en phase de lancement, vise €600m de souscriptions et bénéficie d’un « anchor investor » qui souscrit €150m. Même si les performances passés ne préjugent pas des performances futures, Il pourra s’appuyer sur les performances convaincantes du 1er vintage, dont le portefeuille diversifié s’est montré résilient et liquide en période de crise sanitaire, et génère un rendement supérieur à la promesse initiale.Toutefois les investissements sont exposés à des risques de perte en capital, de liquidité et de crédit. Ce nouveau millésime vise un rendement brut supérieur à 5%**, pour un risque de type Investment-Grade. Les données de performances sont brutes et ne tiennent pas compte de l'ensemble des frais, commissions et charges attachés au fonds. Il n’y a aucune garantie que cet objectif soit atteint. **dans les conditions actuelles de marché
Eau de Verveine : passerelle entre santé et bien-être
Dans un quartier en pleine transformation, des professionnelsde médecines conventionnelles et d’approches alternatives mobilisent leurs compétences au service de la santé au sens large, pour une vision multidisciplinaire autour du patient et de son bien-être.
13 cours Gambetta - 34 000 Montpellier
Immeuble de santé moins conventionnel
680 m2
vivonio, une société d'ameublement qui mise sur l'esg !
Retrouvez Thomas Bernard, Président de LMB FANS & MOTORS et Christophe Somaïni Partner chez Amundi Private Equity Funds , interviewés par Bruno Ducastel, Directeur Développement Relations Distributeurs Pôle Actifs Réels d’Amundi.
LA DETTE PRIVEE SENIOR CORPORATE D’AMUNDI : financer et accompagner la croissance et le développement des entreprises avec une attention particulière sur les critères ESG La Dette Privée Senior Corporate d’Amundi fait partie de la plateforme européenne de Dette Privée d’Amundi, composée également de la dette hypothécaire et des leveraged loans . Depuis la création de la plateforme en 2012, plus de 250 opérations ont été réalisées, soit un total de 9Mds€ d’investissements*. La Dette Privée Senior Corporate d’Amundi une expertise qui gère près de 4.5Md€ d’actifs*. L’équipe est composée de 13 professionnels* aux profils variés et complémentaires, avec une expérience de 15 ans en moyenne. L’année 2021 a été particulièrement active pour la Dette Privée Senior Corporate avec près de 30 opérations conclues pour un investissement total de 407M€, et le lancement, au second trimestre 2021, de la première stratégie à Impact en Dette Senior Corporate de l’équipe, qui a rencontré un vif succès à ce jour*. Amundi Dette Privée Senior Corporate accompagne le groupe Vivonio dans son développement depuis février 2022. Basée à Munich, Vivonio est un acteur majeur sur le marché européen de l’ameublement. Le groupe travaille sur le design des meubles avant de les produire dans leurs usines hautement automatisées. Le groupe a une expertise reconnue sur le marché lui permettant de gagner la confiance des clients. Pourquoi l’équipe a t-elle choisi d’accompagner Vivonio ? Présent dans un secteur de l’ameublement dynamique, Vivonio est un fournisseur important du leader de ce marché (Ikea) qui se fixe des objectifs « eco-friendly » et vise le zéro plastique d’ici 2028, et une supply chain 100% circulaire d’ici 2030. De plus, le groupe Vivonio applique de bonnes pratiques RSE largement appuyées par des clients qui imposent des critères Environnemental & Social. Enfin, l’implication de l’équipe dette privée senior corporate demande à l’entreprise d’accélérer l’intégration des enjeux ESG en réalisant un bilan carbone avec des objectifs et politiques destinés à réduire les émissions de CO2. *Source : Amundi au 31 Mars 2022
Pour plus d'information, consulter le site internet de LMB
https://www.lmbaerospace.com/
Amundi Private Equity FUNDS donne la parole aux dirigeants des PME et ETI qu'elle accompagne
Fondé il y a plus de 60 ans, et implanté historiquement à Brive-la-Gaillarde, LMB Aerospace est un expert reconnu des solutions de gestion thermique de haute performance pour les applications aéronautiques et de défense.
L'immeuble Cœur Défense se réinvente pour accueillir 3500 étudiants a la rentrée
Amundi Immobilier accompagne ainsi son nouveau locataire dans son développement, en proposant des espaces qualitatifs et innovants, tournés vers les nouveaux usages. Ces lieux de vie seront connectés, vivants, modulables, spacieux, confortables et conviviaux, adossés à des infrastructures technologiques innovantes. Des aménagements architecturaux, comme la reconversion des toits-terrasses en rooftop où le végétal prend racine, agrémenteront ces nombreux espaces dédiés aux associations, à la créativité, au partage d’idées et à l’entreprenariat. La Défense : attractivité du plus grand quartier d’affaire européen et dynamisme économique En choisissant d’installer à Cœur Défense ce campus, notre nouveau locataire donne l’opportunité aux étudiants de se former et d‘interagir dans un environnement unique, propice aux échanges entre étudiants et entreprises. Cœur Défense est un immeuble détenu à travers plusieurs solutions d’investissement proposées par Amundi Immobilier. Epicentre du dynamisme du quartier de Paris-La Défense avec son accès sur « la Dalle », le bâtiment regroupe 28 locataires et 160 000 m² . Le quartier de Paris-La Défense, premier quartier d’affaire européen en constante mutation, renforce son attractivité et offre toujours plus de services. A l’aube des JO de 2024, son renouveau s’oriente définitivement vers une mixité d’usages, mobilisant l’ensemble des acteurs du territoire. La Défense accueille davantage de restaurants, dont des étoilés, développe ses infrastructures de loisirs, d’hôtellerie, de sports, de services et végétalise ses espaces.
L’immeuble emblématique Cœur Défense, signé par l’architecte Jean-Paul Viguier, vient de fêter ses 20 ans. Amundi immobilier, co-propriétaire des lieux depuis 2017, y a entrepris des travaux pour réinventer les 8 étages du bâtiment Cœur 2.
Le groupe OMNES Education, nouveau locataire de l'immeuble Cœur Défense, y installe ses quelques 3 500 étudiants dès la rentrée 2022 Le groupe OMNES éducation, premier opérateur privé d’enseignement supérieur français avec ses 12 écoles et ses 30 000 étudiants, profitera pleinement de la modernisation du bâtiment. Le campus occupera la totalité des 13 500 m² et accueillera 3 500 étudiants des 3 écoles implantées sur le site : - l’ESCE (Grande Ecole de commerce international), - HEIP (Hautes Études Internationales et Politiques créée en 1899) et - l’IFG Executive Education (pôle dédié à la formation exécutive tout au long de la vie).
Découvrez l'interview vidéo d'Amar Douhane, Directeur Associé chez Amundi Private Equity Funds . Fondé en 2010 Sandaya est un groupe d’hôtellerie de plein air 4 et 5 étoiles. C’est l’acteur de référence du camping premium et le seul acteur à proposer uniquement des prestations 4* & 5*.
A l’occasion du MIPIMWorld, marché international des professionnels de l’immobilier, Marc Bertrand, Directeur Général d’Amundi Immobilier, était l’invité de Business Immo sur le plateau de BiTV afin d’évoquer les différentes stratégies de diversification d’Amundi Immobilier.
Private Equity | 30 mars 2022 Poursuite de l'accompagnement de Wifirst
Transition Energétique | 9 mars 2022 Nomination de Kawtar Ziyat au prix des femmes de la transition énergétique 2022
Immobilier | 1 avril 2022 Signature d’un bail avec AUSY sur l'intégralité de l'immeuble "Le Boston"
IPE mars -Avril 2022 Marc Bertrand - Directeur Général d'Amundi immobilier
Une fois achevé, le portefeuille produira environ 2,7 GWh par an
Solarig supervisera le développement des différentes centrales
Alantra Solar fournira des services de gestion d'actifs
Un investissement d'1,7 milliard d'euros au total dans les centrales solaires
Solarig apportera plus de 50 centrales en Europe du Sud
Amundi & Reichmuth: un engagement de 265 millions d'euros
Solarig & Alantra signe un partenariat
1,9 gw
véhicule d'investissement photovoltaïque
Un portefeuille d'Europe du Sud d'une capacité de 1,9 GW
Investir 1,7 milliard d'euros au total dans les centrales solaires
Solarig assurera l'obtention du statut opérationnel
Amundi et Reichmuth participent en tant que co-investisseurs stratégiques en s'engage à hauteur de 265 millions d'euros.
Une fois achevé, le portefeuille produira environ 2,7 GWh par an.
02
personnes formées et/ou accompagnées
d'investissements à impact social
10 ans
126 007
1 186
hectares de terres agricoles préservées
59 833
emplois créés ou maintenus
13 436
personnes logées
310 653
tonnes de déchets évités/recyclés
408 875
bénéficiaires de soins
343 038
bénéficiaires de microcérdit à l'international
03
Proposer au moins un fonds ouvert avec un objectif de gestion vers la transition net zéro 2050, pour chaque expertise
Doubler les encours des fonds à impact dans l’ensemble des expertises pour atteindre 1 Md€ d’encours sous gestion
Établir un bilan carbone pour 100 % de nos investissements
Au niveau des collaborateurs d’Amundi Actifs Réels : • Étendre l’intégration des critères ESG dans la politique de rémunération des gérants et des commerciaux • Réduire les émissions directes de 30 % par collaborateur (2018 étant l’année de référence)
Mixité des équipes d’Amundi Actifs Réels : • au moins 30 % de femmes dans les équipes d'investissement • au moins 30 % de femmes au comité de direction
à horizon 2025
Objectifs
* Source : A fin décembre 2021
Pour plus d'informations, visitez la page expertise dédiée
+ de 20 ans de track record
Pour + de 30 grands institutionnels*
Une équipe de 17 professionnels dédiés
Fondée en 1998, l’activité de multigestion marchés privés d'Amundi est une des plus expérimentées de ce marché en Europe.
Mds €
10
d'actifs sous gestion*
+ de 900 investissements réalisés*
+ de 600 fonds*
Private Equity
Dette Privée
Multigestion
Infrastructures
Impact Investing
Amundi Immobilier, filiale dédiée dans la gestion d'actifs immobiliers d'Amundi (N°2 de l'asset management en Europe et dans le top 10 mondial*), est spécialisée dans le développement, la structuration et la gestion de fonds immobiliers axés sur le marché européen.
N°8
mondial
42 Mds€
+ 1 200
d'actifs sous gestion
Immeubles
Green Star GRESB 2021**
* Source : IPE 2021 ** GRESB : Global Real Estate Sustainability Benchmark
2 fonds
dans le secteur de l'immobilier de bureaux*
Accèdez à la carte interactive du patrimoine d'Amundi Immobilier
4 fonds
Labellisés ISR
Retrospectives
60,5
d'encours sous gestion*
Depuis son lancement fin 2016, AmundiReal Assets (ARA), la décision intégrée d'Amundi dédiée aux actifs réels et marchés privés européens, a plus que doublé ses encours sous gestion. En 5 ans, ARA a développé des solutions d'investissement selon des normes établis en matière d'ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance), d'investissement à impact et de gestion des risques, conforme au leadership reconnu d'Amundi sur ces sujets.
220
40
1700
Collaborateurs
ans d'expertise
actifs dans 16 pays
* Source : Amundi à fin septembre 2021. Incluant les poches gérées pour le compte d’autres expertises.
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